1. 1977


    Datte: 14/11/2017, Catégories: Première fois

    ... ma bouche, je me suis mise à racler ma gorge et j’eus une quinte de toux. Ensuite, j’ai tout avaléIl s’assit et chercha dans ses poches un paquet de Marlboro. Il en alluma une, me regarda et en alluma une deuxième. Nous fumâmes, l’un à côté de l’autre. J’étais comblée… Mais, encore vierge. La fumée me produit une nouvelle quinte de toux qui le fit rire. Comme s’il avait lu mes pensées, il s’est mis à parler. Il me dit que j’étais encore une jeune fille mais qu’il savait que j’étais différente à toute autre gamine de quatorze ans… Quinze ! Je lui contestai, Aujourd’hui, c’est mon anniversaire ! Et je veux que tu me déflores ! Ça sera notre cadeau !Il devint sérieux. Il regarda l’heure. Presque trois heures du matin. Habille-toi, Sandra ! On rentre. Mais… Pourquoi ? Je ne te plais pas ? Tu ne veux pas faire l’amour avec moi ? Je me rappelle à quel point j’étais triste, déçue, au bord des larmes. J’avais encore le gout de son sperme dans ma bouche. Tout mon corps sentait le sexe. Je n’avais qu’une envie ! Et celle-ci était qu’il me baise ! Qu’il fasse de moi une femme, à part entière…Mais, je n’étais qu’une gamine et je l’avais obéi. Nous sommes rentrés dans un silence plein de sous-entendus. Il gara la voiture dans le parking extérieur au camping car, à partir de minuit, l’accès à l’intérieur de l’enceinte était interdit… Il ne bougeait pas ; moi, encore moins. Tu me plais beaucoup, Sandra…Beaucoup ! Mais, tu es trop jeune…Et… Ma femme arrive demain… Et, là, j’ai éclaté en ...
    ... sanglots. Ma jeune tête de linotte ne comprenait plus rien. J’étais passée directement du paradis à l’enfer. Je me sentais délaissée, idiote, pathétique. Et le miracle se produit.Sans me dire un mot, il redémarra la voiture, sortit du parking et enfila la route. Mais pas direction la mer. Il prit un petit chemin de terre qui menait à une vieille ferme abandonnée. Il m’avait pris la main et l’avait posé sur son paquet. J’avais compris tout de suite : il était à nouveau dur ! Il avait très envie de moi ! C’est Jean qui pleure et c’est Jean qui rit… Tel était mon caractère à 15 ans.Il attrapa une couverture et chercha un coin tout près de la ferme, où lui semblait que la terre était molle. Il la déposa et me déshabilla complètement. Je commençais à avoir de petits frissons car l’air était frais et humide. Mais je n’avais nulle envie de rater ce moment par une quelconque chair de poule ! Il me demanda de me cocher sur la couverture et il se déshabilla à son tour. Il vint directement sur moi. Je sentis de suite son gland frotter ma vulve. Comme dans un acte reflexe, j’avais écarté davantage mes cuisses. Il s’appuyait sur ses mains, les bras tendus, son regard de glace brulante fixé sur mon visage. Il n’était pas encore en moi, mais je gémissais, déjà. Il s’est mis sur son coude gauche et avec l’autre moi écarta les lèvres de ma chatte. J’étais inondée, mouillée comme un lagon tropical. Jürgen était fou de désir. On aurait dit un taureau près à charger. Ce qu’il fit…Il me pénétra d’une ...
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