1. À la ferme


    Datte: 14/08/2021, Catégories: fh, fhh, couple, inconnu, campagne, Oral pénétratio, double, Partouze / Groupe fsodo,

    ... moments-là, est un regard de satisfaction et de fierté. Il est vrai que les travaux des champs peuvent sculpter un corps d’homme que le service militaire avait déjà forgé de muscles puissants. C’est aussi à l’époque de l’armée que j’ai réalisé que ce qui pendait entre mes cuisses avait une taille respectable, taille confirmée lors des sorties chez les « putes » du coin, alors que ce qui pendait se transformait un mât rigide et vertical sous leurs caresses. Pendant que Martine me caresse de la main, comme si à chaque fois elle me découvrait, je fais sauter sa robe et son soutien-gorge, ne gardant que le tablier qui lui donne un aspect coquin que j’aime tant. Ses tétons débordent de part et d’autre du tissu et je reconnais à leur texture que ma femme est aussi bien excitée. Un pas en arrière et la chaise me reçoit pendant que Martine se baisse pour s’agenouiller devant son Seigneur et Maître, le bâton de chair que sa main ne quitte pas. Chaque fois est une découverte. Voir sa tête plonger et alors que sa chevelure abondante me cache le spectacle, sentir le premier contact de ses lèvres sur la peau si fine et si sensible de mon gland décalotté. Alors je ferme les yeux et imagine. J’associe une image à chaque caresse, chaque sensation, chaque toucher, chaque glissade, chaque respiration, chaque aspiration. Pendant qu’elle lèche ma verge, je sens sa main palper mes bourses, les presser et les séparer afin que sa bouche vienne en gober une couille l’une après l’autre. Aussi ses ...
    ... lèvres qui m’étonnent chaque fois et qui s’écartent assez pour glisser sur le gland et un peu de ma hampe jusqu’à ce que je touche le fond de sa gorge et remplisse ce chemin humide, sécrétant des fils de salive qu’elle étire à loisir. Chaque fois j’accompagne sa tête de mes mains, lui imprimant le bon rythme. Bien sûr elle sait, mais j’aime me sentir un instant le maître de cette bouche qui me suce et me pompe avec envie. Oui, avec envie, car Martine le fait avec envie. Elles sont loin les bouches vulgaires des prostituées qui ne se forçaient même plus à simuler le plaisir au regard de leur client. Non, c’est ma femme, celle que j’aime, que j’ai choisie, qui m’a choisi, qui pompe mon dard avec entrain. Un entrain, un plaisir toujours renouvelé et surtout affiché sans honte ni retenue. Elle me fait du bien. Longtemps elle le fait. Va-t-elle me sucer jusqu’à ce que je vienne et l’inonde de mon jus, crème laiteuse et tiède de mon pis ? Non ! Elle se redresse et nous échangeons un regard suivit d’un baiser, me faisant partager ce petit goût de sexe. Elle vient me chevaucher, face à face, les yeux dans les yeux et je guette le moment où mon dard va se frayer un chemin dans sa vulve. Même si ma verge n’était qu’un bâton insensible, je pourrais suivre, dans le regard de ma femme le cheminement de mon sexe dans le sien. Depuis la douce pression de mon gland, chassant les lèvres de sa chatte et ouvrant le chemin onctueux de sa grotte. En passant par le cheminement lent et puissant du ...
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