À la ferme
Datte: 14/08/2021,
Catégories:
fh,
fhh,
couple,
inconnu,
campagne,
Oral
pénétratio,
double,
Partouze / Groupe
fsodo,
... rien ne se passe. Je ne vois plus rien. Mon cerveau est embrumé. Je me lève, entraînant Capucine avec moi. Le cercle se brise devant moi, me laissant découvrir la scène la plus étrange. Étrange, car tout paraît se dérouler au ralenti, livrant chaque détail avec une précision surnaturelle. Martine, ma femme est bien au centre d’un cercle, un cercle d’hommes. On lui tend une cigarette qu’elle aspire longuement pour conserver la fumée le plus longtemps possible et ne la libérer qu’avec ce même sourire béat de satisfaction. Un des garçons est collé contre son dos avec les mains qui caressent sa poitrine. Au ralenti je vois les tétons qui se tendent, pointant du sein gonflé qui avance au rythme de la respiration. D’autres mains doivent courir plus bas sur le corps offert et c’est à cet instant que je vois que Martine s’est emparée de deux verges tendues qu’elle branle doucement, de ce mouvement que le ralenti décompose avec tant de sexualité. Je suis juste en face d’elle mais elle ne me voit pas. Son regard croise le mien mais ne s’attarde pas. Elle est dans un rêve éveillé, seulement sensible au contact, peau contre peau, de ses admirateurs. Le cercle qui s’est reformé derrière moi, se brise à nouveau et je vois certains se diriger vers le fond de la grange. Ils en reviennent avec des ballots de foin qu’ils disposent les uns à côté des autres, formant une rangée longue mais peu profonde. Des couvertures sont jetées dessus, transformant la forme en banquette improvisée. Les ...
... garçons entraînent alors ma femme pour la faire allonger. C’est une poupée entre leurs mains, poupée consentante qui s’installe. Je laisse faire et pourtant une petite voix dans ma tête me murmure que ce n’est pas bien, qu’une femme ne doit pas se livrer à d’autres hommes que son mari et que ce mari ne doit pas laisser faire. Mais je la chasse de mon esprit. Je suis si bien, reposé mais tous mes sens en éveil. Un garçon s’agenouille entre les cuisses de Martine. C’est d’elle-même qu’elle écarte les jambes pour les lever et venir reposer ses pieds sur les épaules de son amant. Elle frémit au contact des lèvres sur sa chatte. Seuls ses soupirs couvrent les bruits humides de la langue qui lèche son intimité. L’homme tend une main, mais son visage cache l’usage qu’il en fait. Nul doute qu’il explore les orifices déjà assouplis par les caresses des nymphes. Mon sexe est un bâton douloureux. Je pousse Capucine sur la banquette improvisée, à côté de ma femme, pour qu’elle se place en levrette. Pendant que Martine gémit sous les caresses de son amant, ma verge trouve le chemin glissant mais très étroit du minet de la jeune femme. Je suis délicat et ne m’introduis que lentement dans la grotte qui n’a sûrement pas encore été explorée par un si gros engin. Mais tout se passe bien et je me retrouve bien vite au chaud, enfoncé jusqu’à la garde, mon ventre contre ses fesses. Depuis des années mon pieu n’a connu que les trésors de mon épouse et c’est sa première infidélité. Infidélité ? Non ! ...