1. Buisson ardent


    Datte: 14/08/2021, Catégories: fh, Inceste / Tabou taille, poilu(e)s, Voyeur / Exhib / Nudisme Masturbation

    La seule chose que je savais de ma cousine Aline, c’est qu’elle était très grande : Tout le monde le disait dans la famille. Elle tenait, parait-il, de sa mère qui dépassait les 1m80. Mon oncle Francis, le frère de ma mère, et sa femme Maryse avaient divorcé 10 ans auparavant. Ensuite, cette dernière avait refait sa vie. Elle s’était entichée d’un canadien et était allée vivre là-bas avec lui, emmenant avec elle toute sa petite famille. Francis avait fait le voyage trois ou quatre fois pour aller voir sa fille et son rejeton, mais eux, de leur côté, n’étaient jamais revenus en France. Père et fille se connaissaient très peu. Elle devait avoir 20 ans maintenant, elle avait décidé de passer l’été en France pour retrouver ses racines et pour faire connaissance avec sa famille. Etant donné que nous vivions dans une petite fermette avec la grand-mère, qu’il y avait pas mal de place et un train presque direct pour rejoindre la capitale, à quelques centaines de mètres de la maison, il fut décidé qu’elle serait hébergée chez nous. C’est ainsi que je fis connaissance avec cette grande gigue. Pas loin d’un mètre quatre-vingt dix, vous vous rendez compte, elle me dépassait de cinq bons centimètres, et sans avoir besoin de mettre des talonnettes ! Mis à part ça, elle était plutôt quelconque. Un visage allongé et des traits grossiers, elle tenait de sa mère. En voyant les photos de cette dernière je m’étais toujours demandé ce que mon oncle avait bien pu lui trouver à l’époque. Et sa ...
    ... fille en était le portrait craché, pas féminine pour deux sous. Pas spécialement sympathique non plus, car plutôt coincée, froide et distante. Tout ça pour dire que je ne m’en fis pas tout de suite une copine. D’ailleurs, j’avais d’autres chats à fouetter, des amis, des copines, et une activité estivale très riche. Alors, cette grande asperge, je la laissais volontiers à ma famille. Ma mère me le reprocha : « Tu pourrais au moins faire un effort et emmener Aline dans une de tes sorties ! ». « Oui, maman, je vais le faire, ne t’inquiète pas ». Mais, dans la pratique, je trouvais toujours un prétexte pour ne pas avoir à m’embarrasser de cette curieuse cousine. Et puis, il y eut ce jour où je dus rapporter les médicaments à ma grand-mère. Elle était coutumière du fait, elle les oubliait souvent. C’était le soir, la nuit tombait. Je fis ce que je faisais d’habitude en pareil cas, je sautai par la fenêtre de ma chambre, le sachet de médicaments à la main, et je contournai la bâtisse par le jardin pour aller taper à sa fenêtre. C’était mille fois plus court et plus pratique. Trois minutes aller-retour, montre en main. Il faisait presque nuit. Machinalement, je tournai la tête et jetai un coup d’œil dans la chambre de ma cousine en passant devant sa fenêtre, attiré par la lumière qui en émanait. Et là, je vis un spectacle à couper le souffle qui m’arrêta net dans mon élan : Elle était debout au fond de la pièce, entièrement nue et elle se triturait les tétons en se regardant dans le ...
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