1. Les joujoux du Père Noël.


    Datte: 15/08/2021, Catégories: fh, jeunes, couple, cadeau, forêt, ascenseur, boitenuit, danser, bus, jouet, lieuxpubl,

    Manon inaugurait aujourd’hui le plus sophistiqué des cadeaux que je lui avais offerts pour Noël, cadeau que je savais que Manon apprécierait puisqu’il s’agissait d’un coffret de sex toys. Manon était toujours à la recherche de nouveaux plaisirs et moi je prenais toujours autant de plaisir à ce qu’elle soit comblée. Ce soir donc Manon avait glissé dans sa vulve un petit œuf tout lisse qu’elle avait auparavant réchauffé dans ses mains. Elle venait de faire sa toilette car nous allions sortir mais l’idée de cette introduction eut pour conséquence qu’elle n’eut pas à utiliser le lubrifiant préconisé, l’objet entra, comme aspiré entre ses lèvres chaudes. Ce petit œuf était prolongé d’une partie courbée vers l’extérieur, aplatie à son bout, qui vint se coller sur le capuchon du clitoris dès que l’œuf eut trouvé sa place. À chaque contraction de Manon, l’œuf était attiré vers l’intérieur et écrasait davantage le clitoris. Cette seule présence émoustilla Manon. Ce crochet devenait totalement invisible, caché entre les lèvres et dissimulé par les poils. Une fine culotte noire vint recouvrir cette douce cachette et nous partîmes rejoindre nos amis. — On essaye ? demanda Manon alors que nous étions sur le palier.— Si tu veux, répondis-je, glissant la main dans ma poche. Prends mon bras, ajoutai-je, certain que cette première impulsion allait la surprendre plus qu’elle ne pensait.— Oups ! soupira Manon lorsque l’œuf se mit à vibrer tout au fond de son intimité, et que son clitoris fut ...
    ... sollicité, s’agrippant à mon bras. Tu crois que je vais résister longtemps ? ajouta-t-elle.— Il le faut. Tu commences bien à apprendre à te contrôler et à jouir en silence, et ce soir tu sais que tu n’as pas le droit de crier. Je suis sûr que ta volonté sera plus forte que ton plaisir. Et puis hier a été un bon entraînement, non ? §§§§§ La relation entre Manon et moi était toujours aussi forte. Nous éprouvions le besoin de nous toucher, de nous caresser n’importe où mais Manon ne savait pas contenir les cris qui accompagnaient toujours sa jouissance. Nous en avions parlé souvent, il fallait en quelque sorte entraîner Manon à se contrôler. Elle faisait des efforts mais nous avions souvent failli être surpris car une plainte lui avait échappé. Dans le bus, toujours bondé, j’essayais de m’asseoir sur un strapontin, Manon me tournant le dos, une jambe glissée entre les siennes. Et là, dans la foule qui nous entourait, ma main montait entre ses cuisses qui n’avaient bien entendu pas mis de culotte sous sa jupe. Et un doigt enfoncé entre ses lèvres impatientes de l’accueillir, un autre roulant sur son clitoris, Manon sentait monter le plaisir, feignant de lire le livre qu’elle tenait de sa main gauche, la droite serrée autour de la poignée qui lui permettait de ne pas tomber. Sa tête souvent penchait en avant tandis que ses jambes se raidissaient et là, quelquefois, un grognement de plaisir lui échappait. Mais ma main avait rejoint mes genoux tandis que, très sagement, je regardais ...
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