Les joujoux du Père Noël.
Datte: 15/08/2021,
Catégories:
fh,
jeunes,
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... décidai d’attendre qu’elle m’envoie un signe pour stopper les vibrations qui la transportaient. Je ne la quittais pas des yeux, craignant qu’elle ait du mal à supporter cette stimulation aussi longtemps, mais aucun signe de lassitude ne vint. Plusieurs minutes s’écoulèrent avant qu’elle ne s’approche de moi et me souffle : — Stop ! Sinon je meurs devant tout le monde ! Elle se pendit à mon cou, jambes flageolantes. — Tu me tues. J’avais l’impression que c’était ton sexe qui vibrait en moi, et j’attendais que tu exploses, mais ça ne venait pas mais j’étais si bien. J’ai retrouvé certaines des sensations du gang bang du Cap d’Agde, cette impression que ça ne finira jamais, que la jouissance durera toujours. Dis-leur que j’ai trop bu et que tu dois me ramener. On va rentrer et on va faire l’amour. Nous rentrions à pied, enlacés et nous bavardions comme deux amoureux, sachant qu’ils vont s’aimer, ne se pressent pas de rentrer. — L’effet de ces objets me fait penser à l’effet que me fait JB : jouir ; JB ne me sert qu’à ça. En fait, avec ces toys, je vais pouvoir me passer de lui.— Sûrement pas, lui répondis-je, tu dois continuer à le voir. Lui ou un autre. Tu n’es pas une machine qui ne réagit qu’à l’effet d’une machine. Même si vos rapports sont simplement jouissifs, JB te parle, JB vit, JB est un être humain.— Tu as raison. Il me parle, très peu, mais il me parle et je ne sais pas si je dois te le dire mais j’aime ce qu’il me dit. Et Manon me regarde, attendant ma question, ...
... que je ne lui pose pas car elle a trop envie de continuer. — J’aime quand il me dit que j’ai un beau cul. J’aime, quand je crie un peu, qu’il me dise que je suis une bonne baiseuse, qu’il adore m’entendre crier, que je suis sa petite cochonne. J’aime ça, mon Fred, parce que je crois bien que je suis devenue un peu cochonne mais, avec toi, je ne suis pas cochonne, j’aime simplement beaucoup, beaucoup, faire l’amour avec toi. Je lui fis un gros baiser sur la joue car je savais que ça lui avait fait du bien de me dire tout ça même si je savais tout avant qu’elle ne me le dise. — À quoi penses-tu ? demandai-je à Manon qui, depuis un moment, marchait en silence, sa hanche contre ma hanche.— À JB ! J’imagine sa tête, lorsque je vais aller le voir et qu’il va découvrir entre mes fesses, lorsque je vais m’installer à quatre pattes sur son lit, le brillant serti sur le plug que tu m’as offert. Ça va le rendre fou. Je pense que je vais avoir droit au grand jeu de sa part et que cette soirée sera mémorable. Manon me parlait de ça avec le plus grand naturel. Il lui semblait normal de m’expliquer que, lui présentant ses fesses, JB allait baisser sa culotte. — Il adore baisser ma culotte. Il m’a dit qu’il aimait déballer lui-même ses cadeaux et que ce que ma culotte cachait était un superbe cadeau, m’avait-elle dit. J’avais beau me dire que Manon avait le droit de prendre du plaisir à se faire baiser, je ne pouvais m’empêcher de la voir, à genoux, sexe ouvert, offerte à ce rustre de JB qui ...