Terma-7- Expérience avec deux blacks
Datte: 15/11/2017,
Catégories:
Entre-nous,
Les hommes,
... celle de l’autre, et son gland aussi gros et effrayant. Avec un clin d’œil engageant, je lui ai soufflé dans un murmure complice : «wach ! Keita ! ed’dawar e’tnikni thani enta ! t’wa7achet teremti ! ana thani t’wa7achet zebek lakhchine ! haya ! » ( alors Keita ! tu veux me niquer toi aussi ! tu as envie de ma terma ! moi aussi j’ai envie de ton zob si épais !) . Il n’a peut-être rien compris, alors on est passé à l’action. J’ai commencé par lui saliver la bite, la lécher et la sucer doucement tout en la branlant. Elle avait déjà de la vigueur et très rapidement elle s’est gonflée en se rallongeant encore plus. Comme nous nous connaissons déjà, je lui ai, directement présenté mes fesses et mon cul. Il a eu un hoquet, comme l’autre jour, et m’a agrippé les fesses, puis il m’a léché le sillon et le trou du cul, ensuite il m’a pointé son gland sur mon anus. Rapidement, vu que j’étais assez lubrifié, sa bite s’est glissé tout au fond de mes entrailles dont elle connaissait déjà la douceur. J’ai retrouvé le gout et la puissance de son zob. « Ah ya teremti ! ch’7aal touil zebbou ! raah d’goul atoual mine n’ta3 Moussa ! » ( ô ma terma ! son zob est si long ! on dirait qu’il est plus long que celui de Moussa !). Il m’a bien saisi les hanches et a commencé la danse sexuelle et ses vas et viens puissants et jouissifs. D’habitude je suis très loquace quant ma terma goute le zob, mais comme ce gars ne comprenait ni l’arabe ni le français, j’ai préféré me taire et me concentrer sur les ...
... vibrations de ma terma. Il m’a semblé qu’il était plus acharné que la dernière fois, ou qu’il voulait me montrer qu’il était aussi puissant que Moussa. Ce désir de plaire décuplait ses forces. En tout cas, ses coups me faisaient autant plaisir que le premier et sa bite me remplissait bien le cul. Et au bout d’un grand nombre de coups de reins, il s’est agrippé fortement à mes hanches et j’ai senti ses jets de sperme me remplir les entrailles. Satisfait et enfin vidé du plaisir qui gonflait ses couilles, Keita m’a souri avec quelques mots gentils dans sa langue. Je lui ai rendu son sourire et j’ai, quant même ajouté en français, espérant qu’il comprendrait : « merci mon ami ! ton zob a été, encore cette fois, à la hauteur ! » ( choukrane ya saa7bi ! zebek daar waaj’bou ! hadha el’marra thani !!) Puis Keita s’est retiré de mon cul et sa bite continuait à laisser couler quelques gouttes de sperme, mais elle restait toujours bandée et raide, mieux que Moussa. La dernière fois aussi, elle était resté, je crois, gonflée même après avoir déversé son jus. On dirait que c’est naturel chez Keita, ce gars doit être capable de garder sa bite raide pendant plusieurs sodomies de suite. Je n’ai pas d’expérience mais je pense qu’il y a beaucoup de gens qui ont cette faculté sexuelle qui n’est pas mon cas hélas. Je l’ai retenu par le sexe dans ma main, tout en me vidant de son sperme dans le bidet, car j’avais encore un programme pour lui. Ce gars me plaisait beaucoup, peut-être par sa retenue ...