Solange
Datte: 15/08/2021,
Catégories:
ffh,
fbi,
couplus,
inconnu,
toilettes,
hsoumis,
fdomine,
ecriv_f,
Moi, c’est Annabella, 22 ans, brune, italo-réunionnaise, sexy, grande, yeux verts et….lesbienne, parfois un peu bi, mais souvent très lesbienne, "lipstick lesbian" comme on dit de nos jours. Étonnant pour une fille à filles de parler d’un homme, mais je vous parlerai d’une époque de ma vie, il y a deux ans, époque où je vivais avec un homme. Ah ! les hommes et le plaisir saphique ! C’est incroyable comme une femme peut parfois tout obtenir d’un homme, en jouant sur sa bisexualité. D’autant plus que le spectacle est souvent insupportable pour un homme. En effet, peu sortent indemnes de la vision de leur femme, copine, amante en train de se tordre de plaisir grâce à une autre femme. Pas seulement parce qu’elles ressentent un plaisir d’une intensité et d’une diversité inégalables, mais surtout quand, bien sûr, l’une des deux participantes n’est pas forcée, parce que les hommes deviennent transparents, ils n’existent plus. Combien de fois après avoir fait l’amour avec une de mes maîtresses, celle-ci se souvenait soudain de son copain en train de l’attendre dans la pièce d’à côté, dans la voiture ou chez eux… Revenons quelques instants à Marc. Cet homme a tout connu en neuf mois avec moi. Je l’ai trompé ouvertement de toutes les façons possibles, avec des hommes, des femmes, des couples, souvent devant lui, il est devenu le complice malgré lui de mes frasques. Il m’écrit encore, un seul claquement de doigt et il reviendrait (j’avoue d’ailleurs y songer…) Je voulais vous raconter ...
... la première fois où Marc m’a vue faire l’amour avec une femme. Mais revenons en arrière. Avant de connaître Marc, j’ai vécu une histoire avec une magnifique sénégalaise, Marlène, photographe de mode, mère maquerelle, aventurière et maîtresse. Je fus sous sa coupe pendant six mois. Quand je dis sous sa coupe, ça veut dire que j’abandonnais toute volonté et devenais littéralement son esclave. Elle me soumettait à de nombreuses choses que j’acceptais avec enthousiasm. Il faudra que je vous raconte un jour ce que j’ai vécu, mais je vais d’abord vous relater un petit jeu auquel elle me soumettait. Régulièrement, elle m’envoyait dans une ville choisie par hasard. Je m’y rendais habillée de la manière la plus sexy possible (c’est elle qui choisissait et elle prenait un malin plaisir à me déguiser en bimbo pétasse), avec uniquement un sac où se trouvaient dix euros, un paquet de cigarettes, des préservatifs et un rouge à lèvres. Rien d’autre. Je devais « survivre » pendant trois ou quatre jours avant qu’elle vienne me chercher. Si je pouvais alors l’inviter dans le plus bel hôtel de la ville, j’étais sûre que Marlène me comblerait au-delà de mes rêves (pour l’anecdote, nous étions quatre filles à faire partie de son "harem" et réussir ce genre de mission pouvait nous faire passer pendant quelque temps au rang de favorite) Bref, elle m’envoya un jour à B….; je rencontrais Marc, beau jeune homme, aisé, il était en pleine rupture avec une fille de la bourgeoisie de B…, très belle mais ...