Lucas chez sa cousine (9)
Datte: 16/08/2021,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
En se réveillant, ce matin-là, Lucie calcula qu’un mois avait dû passer depuis son arrivée au manoir. Il soupira, les yeux ouverts dans le noir total de sa cellule. Pas question de bouger, il était enchaîné ; une courte chaîne reliait son collier d’acier à un anneau scellé dans le mur derrière lui, une autre maintenait ses poignets dans son dos. Sa vessie était pleine, mais il ne risquait pas de se soulager avec la sonde urinaire qu’il portait en permanence. Sa poitrine était douloureuse, comme tous les matins depuis une semaine. Le traitement hormonal lui avait si bien réussi que ses mamelles avaient commencé à produire du lait. Ce matin, la tension dans sa poitrine toute neuve était éprouvante. Lucie entendit alors le bruit des verrous puis la clé dans la serrure ; la lourde porte s’ouvrit en grinçant et la lumière vive des allogènes l’obligea à fermer les yeux. Ils étaient deux ce matin, l’un détacha la chaîne de son collier alors que l’autre frappait ses cuisses de trois violents coups de cravache. Sans réfléchir, Lucie se laissa glisser sur le sol terreux et ouvrit la bouche. — Bien, salope. Réjouis-toi, tu vas avoir double ration de petit déjeuner, ce matin. Allez, suce bien. Sachant ce qui se passait quand un de ses gardiens n’était pas satisfait de lui, Lucie s’appliqua, pompant la bite épaisse et la cajolant de la langue. Si la verge était large, elle n’était pas très longue et Lucie arrivait à la prendre jusqu’à appuyer son nez contre le ventre sec de l’homme. ...
... Sous la fellation vigoureuse, il jouit rapidement et Lucie déglutit avant de nettoyer soigneusement le sexe encore raide. — Bien, petite pute. Tu t’es beaucoup améliorée depuis un mois. À mon copain maintenant. Après avoir soulagé le deuxième gardien, Lucie fut conduite au coin douche. Le rituel était identique : extraction de la sonde urinaire permettant à l’ex étudiant de se vider, nettoyage au jet par un garde, à l’eau froide bien sûr, savonnage au lave-pont et savon industriel, rinçage au tuyau pour finir. Puis Lucie fut conduite en salle de sport. Une jolie brune athlétique la prit en charge, comme tous les matins, pour deux heures de gym, vélo elliptique, rameur. Depuis son arrivée, Lucie n’avait pas perdu de poids mais les masses s’étaient déplacées et sa ligne affinée. Sans parler de sa poitrine, bien sûr, ses courbes s’étaient arrondies. L’épilation intégrale de son corps donnait une impression de vulnérabilité, renforcée par son petit gabarit. Après une nouvelle douche, à l’eau presque tiède cette fois, Lucie savait qu’elle était présentée au Maître. Celui-ci l’attendait toujours dans le même salon ; dès son entrée, Lucie s’agenouilla les genoux à l’équerre et les mains croisées dans le dos. Elle baissa respectueusement la tête et fixa le sol devant elle. — Voici donc ma jeune Lucie, une salope aux trous accueillants et au tempérament soumis. — Bonjour, Maître. — Tu es heureuse d’être ici ? — Oui Maître. — Tu es contente des transformations que tu as subies, de ta ...