Lucas chez sa cousine (9)
Datte: 16/08/2021,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
... nouvelle poitrine ? — Oui Maître ; mes tétons sont très douloureux, Maître. — Toujours à te plaindre, décidément tu m’agaces. Tu recevras vingt coups de cravache pour t’apprendre à cesser tes jérémiades. Lucie baissa encore plus la tête, les yeux remplis de larmes. Elle ne savait plus si elle devait remercier son maître ou simplement se taire. À tout hasard, elle se lança : — Je vous remercie, Maître, de dresser votre esclave. Heureusement, l’homme ne releva pas et continua de lire son journal financier. Puis il sonna et une femme entra. Lucie frémit car c’était la gouvernante du manoir, une personne brutale et sadique. Grande et au physique ingrat, elle la terrorisait non sans raison. — Gertrud, je te confie Lucie. Punition de vingt coups de cravache. Elle est à toi jusqu’à 19 heures ; je la veux parée et maquillée dans le jardin d’hiver. — Bien Monsieur. Corset, talons aiguilles, poids aux couilles, enchaînée ? — Mmm… Pas de corset. Sa finesse naturelle suffit. Aujourd’hui, pas de traite, ses mamelles n’en seront que plus belles et lourdes. — Elle va avoir mal, Monsieur, releva Gertrud avec un sourire mauvais. — C’est mon dernier souci. Et mets-lui le ball stretcher le plus lourd qu’on ait, c’est son jour de gloire aujourd’hui. — Celui de deux kilos ? Putain, elle va morfler, elle n’a jamais eu un truc aussi lourd. J’ai hâte de voir ça. Allez, suis-moi, petite chienne. — Et n’oublie pas la sonde dans sa petite bite. Un peu avant 19 heures, Gertrud arriva dans le jardin ...
... d’hiver, une grande véranda dans laquelle trônaient deux palmiers et de nombreuses plantes méridionales. Trottinant derrière elle, juchée sur des escarpins de cuir noir verni, Lucie progressait de son mieux, les poignets menottés dans le dos. Le poids trop lourd torturait ses petites couilles violacées qui pendaient entre les cuisses menues. Au-dessus, sa minuscule verge semblait plus épaisse que longue, dressée à l’horizontale. La sonde avait eu du mal à pénétrer, c’était un tube souple de quinze millimètres de diamètre. Il pénétrait la vessie dans laquelle un ballon était alors gonflé, interdisant tout retrait. Un gros anneau d’acier perçait le gland, une laisse y était accrochée et Gertrud tirait impitoyablement Lucie sans se soucier de ses difficultés pour marcher à la même vitesse qu’elle. Une vingtaine de personnes attendaient, discutant en petits groupes tout en buvant du champagne dans des coupes de cristal. Gertrud s’arrêta devant le maître des lieux et tendit la laisse à celui-ci avant de s’éclipser sur une courbette respectueuse. — Tu es superbe, ma belle Lucie, dit le Maître.. Je pense que de nombreuses personnes seront intéressées ce soir. Tu vas me quitter, j’en suis désolé, mais je suis sûr que tu seras heureuse là où tu seras. Lucie frémit et commença à pleurer, car elle s’était attachée à son maître. Pourtant elle savait que son sort était décidé depuis bien longtemps. Elle fut surprise en apercevant une jolie jeune femme nue à côté du Maître, une grande rousse ...