Nadine, la vengeance d'une maman (5)
Datte: 16/08/2021,
Catégories:
Inceste / Tabou
... d’être confronté au stupéfiant pouvoir de la féminité, à la redoutable attraction qu’exerce sur les mâles le corps des jolies femmes. Le lendemain, j’ai patiemment attendu qu’elle monte à l’étage pour prendre sa douche, et je me suis précipité dans son sillage comme un petit fantôme malveillant. Qu’elle fut ma mère n’entrait pas en ligne de compte dans mon calcul : l’idée de la revoir nue m’affolait ! Dans le couloir, la joue collée au carreau, j’ai fait semblant de suivre ce qu’il se passait dehors, mais je surveillais la porte avec nervosité : j’espérais que mon attente serait récompensée. Attendre, quand on sait que ce qu’on attend est susceptible de se réaliser, s’avère une torture particulièrement délicieuse. Je crois que je l’ai compris ce jour là. Mais j’étais si peu discret que j’imagine qu’elle a tout de suite compris mon manège, au premier regard échangé. Le soir même, mon père est entré dans ma chambre et s’est assis au bord de mon lit. Il était nerveux. Il m’a dit que je leur faisais beaucoup de peine, à tous les deux. Il m’a expliqué, avec tout le tact dont il était capable, qu’il fallait que j’arrête, qu’un fils n’avait pas le droit de regarder sa mère de cette façon, que c’était un péché mortel. Je ne comprenais pas comment il avait deviné, alors que c’était mon secret. Je n’étais qu’un enfant. J’étais mortifié. Je lui ai promis tout ce qu’il voulait. Nous n’en avons plus jamais reparlé, puis j’ai ...
... oublié, et la vie a continué… Aujourd’hui, je comprends mieux du coup les crises de colère de mon père. Ses accès de jalousie, sa fébrilité quand nous étions un peu trop collés l’un à l’autre, avec Maman. Il se souvenait et il flippait. Il ne savait comment l’empêcher. Comme il a dû en chier, ce connard ! pepbbhr Il se doutait que le lien qui nous unit, Maman et moi, était déjà bien plus puissant que son amour pour elle, pourtant intact à l’époque. Il y a un fil invisible, comme un fluide qui circule entre nous deux depuis que je suis né, depuis qu’elle m’a mis au monde. Une connexion qui a toujours existé, plus forte que jamais. Mon père a dû être terrifié quand il l’a réalisé. Le pauvre, j’ai presque pitié de lui… Je m’habille sans prendre de douche, ne déjeune pas avant de partir au lycée. Je quitte la maison sur la pointe des pieds, comme un voleur. Je ne veux pas la réveiller. Ce que j’ai fait à ma mère la nuit passée est impardonnable, je me sens coupable. J’espère qu’elle ne s’est aperçue de rien, que je n’ai pas tout gâché avant même de commencer. Je ne suis pas fier de moi, je manque d’expérience en la matière, pourtant des doutes subsistent : peut-on faire mouiller une femme contre sa volonté, l’exciter malgré elle ? Dormait-elle vraiment ou faisait-elle semblant ? « Oh, mais alors, si elle ne dormait pas, ça signifie… ça veut dire… ça veut dire quoi, au juste ? » Je suis incapable de réfléchir plus loin…