1. La copine de ma sœur s'occupe de moi (1)


    Datte: 16/08/2021, Catégories: Hétéro

    Petite présentation: je suis un jeune homme de 18 ans, brun aux yeux verts, fin et sec avec un pénis de 16 cm de longueur pour 6 cm de largeur, 15 cm de circonférence). Il y a quelques jours je me suis cassé les avant-bras dans un accident de scooter, je ne pouvais plus faire grand-chose. Pour manger, on me mettait des gros livres de chaque côté pour soutenir les bras, ce qui me permettait de porter ma bouche à ma fourchette ; pour l’ordinateur, deux doigts suffisaient, et pour la télé « le temps de cerveau disponible » n’était pas endommagé. Par contre, pour ce qui est de faire ma toilette, c’était impossible. Même pour prendre une douche où il fallait orienter le jet afin d’éviter de mouiller les plâtres. C’est Alix, ma sœur jumelle, qui se résolut à faire ma toilette. Elle avait l’habitude, ayant travaillé à l’hôpital dans le but d’être infirmière avant de changer de branche pour s’orienter dans les services d’aide à l’enfance. Cette fois, c’était moi, mais ni l’un ni l’autre n’y voyons un quelconque problème. Il faut dire que nous pratiquons le naturisme avec nos parents depuis notre plus tendre âge. Notre mère disait même : « Vous faisiez du nudisme avant même votre naissance, puisqu’avec papa, mon ventre s’arrondissant, nous passions nos journées, tout nus, sur les plages de l’océan Atlantique. Dire que je n’osais pas montrer mon gros ventre et mes seins lourds alors qu’il n’y a rien de plus naturel qu’être enceinte. Lorsque je vois aujourd’hui des personnes ...
    ... handicapées dans les centres naturistes qui assument leur différence, je me trouve bien idiote a posteriori. » Alix connaissait parfaitement mon corps et inversement. La pudeur n’avait aucune prise entre nous, d’autant plus que notre gémellité nous rendait encore plus proches. Aussi le premier jour de cette toilette, elle arriva dans ma chambre et dit : — Je t’aide à prendre ta douche ? — Oui, merci sœurette. J’ai alors rejeté les jambes de ma couette de lit et me suis retrouvé rut nu comme à ma naissance, puisque je dors toujours sans pyjama. Alix ne s’en émut pas, m’ayant surpris plus d’une fois a pratiquer certaines activités nocturnes... L’inverse était vrai, car nos chambres sont accessibles l’une à l’autre depuis toujours et les portes en étaient rarement closes. De plus, il était fréquent, lors des vacances, que nous dormions dans la même pièce ou sous la même tente et elle ne cachait pas le fait qu’elle se donnait du plaisir. Seule la vie amoureuse et sexuelle de chacun de nous deux nous éloignait épisodiquement et momentanément. M’apercevant à poil devant elle ce matin-là, je crus voir son regard s’arrêter un instant sur mon membre. Une fois dans la salle de bain, elle mouilla mon dos. Constatant qu’elle allait être trempée, elle se résolut à ôter son long tee-shirt qui lui servait de nuisette, ne portant alors pour seul vêtement qu’un string. Elle savonna mon dos, mes fesses et mes jambes, puis rinça le tout. — Demi-tour, maintenant, le côté face. Je vis alors clairement son ...
«123»