La copine de ma sœur s'occupe de moi (1)
Datte: 16/08/2021,
Catégories:
Hétéro
... regard vers mon entrejambe qui avait pris du volume. Elle l’avait déjà vu bander ainsi, et cela ne l’avait jamais choquée. Cependant, ici les érections matinales du réveil ou l’apparition de jolies nanas n’en étaient pas la cause. — Tu bandes pourquoi ? — Les circonstances, et puis le manque. — Le manque de quoi ? Dit-elle en le savonnant. — De sexe, pardi. Avec mon plâtre, je ne peux même pas me toucher la queue. Oh, tu as dû en voir des mecs ayant la trique lorsque tu les nettoyais ? — Un, non deux ; sur la quantité, ce n’est pas énorme. Mais je crois qu’ils étaient chauds à cause de l’infirmière qui s’occupait d’eux avant mon arrivée. Il faut dire qu’elle avait tout ce qu’il fallait où il fallait, et sous sa blouse on voyait des dentelles avec plein de choses à découvrir. Et en plus comme elle se trémoussait, ça excitait ces messieurs. Elle ne dit rien, tout en continuant à me laver, évitant tout de même mon membre érectile qui restait toujours aussi tendu. Le fait qu’Alix soit seins nus et ne porte qu’un string arachnéen n’était pas pour calmer mon excitation : une sœur reste avant tout une femme désirable, même s’il est hors de question de la toucher. Puis elle finit par savonner le plus rapidement possible la tige avec le gant de toilette. — Oh, dit-il, tu ne peux pas continuer ? — Mais... Tu déconnes. Je suis ta sœur. — Je sais, mais par humanité... Tu ne peux pas me laisser comme ça. — Tu voudrais que je te branle ? Même pas dans tes rêves ! Tu n’as qu’à demander à ...
... ta copine Solange. — Ah, Solange, parlons-en. Elle était hyper-coincée, et malgré mes efforts elle l’est toujours autant. On ne baise pratiquement jamais car elle étroite et ma bite lui fait mal. Heureusement que je peux lui baiser les nichons qui sont ravissants et terriblement sensibles. Mais elle ne veut pas que je voie sa petite rondelle même si je lui ai expliqué qu’avec un peu d’entraînement elle serait bien plus dilatée par là qu’avec son vagin. — C’est vrai que la sodomie pourrait être une solution mais tu ne peux pas l’obliger. — T’n’inquiètes pas je n’avais pas l’intention de la forcer. De toute façon je l’ai quittée la veille de mon accident. — Et tu n’avais personne en vue ? Tu n’as pas un plan B ? — Non. Enfin, il y a une nana que je kiffe, mais je ne l’ai pas encore draguée. Si tu lui disais « Mon frère s’intéresse à toi ; ça te dirait de lui faire une turlute ? », je ne crois pas que ça fonctionnerait. Alix me rinça, me sécha avec deux serviettes éponge. Puis elle m’habilla, m’emballant comme elle put mon pénis toujours aussi tendu. — Alix, je ne pourrai pas tenir tout le temps du plâtrage, excité comme je suis, sans une fille pour me soulager ou même me branler. — J’en ai conscience, frangin ; mais moi, je ne peux pas t’aider. Toute la journée, l’idée que je n’aie pas la possibilité de me masturber du la préoccuper car elle revint quelques heures plus tard me parler de son idée : Sandrine. Une bonne copine élève infirmière comme elle. Elles s’étaient toujours ...