1. La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°1152)


    Datte: 16/08/2021, Catégories: BDSM / Fétichisme

    ... mouvements se firent plus rapides. Mes soupirs se transformèrent vite en cris. Je n'en pouvais plus, je souhaitais jouir le plus vite possible. Alors sans que je ne baisse le rythme de pression sur mon clitoris, je me doigtais abondamment m’enfilant mes doigts le plus profond possible et les fit aller et venir dans mon vagin dégoulinant. Mon clitoris n'étant plus apte à me contenter, je pensai vite à mon deuxième ami : le point G. Vue la mouille qui inondait ma chatte, je n'eus aucune difficulté à continuer à m'enfoncer encore et encore mes doigts dans le vagin. Je commençais à me tortiller et à faire des va-et-vient toujours plus rapides et profonds. Des ondes de plaisir m'envahissant le ventre, mes soupirs réguliers se transformèrent non plus en cris, mais en hurlements sans me préoccuper au cas où quelqu’un vienne aux toilettes d’à-côté, je criais des "Oh oui, plus fort, plus vite, encoooooore’’ à moi-même. Mon corps était maintenant secoué de spasmes, toujours assise sur la cuvette du WC, je me branlais avec frénésie, me tordais de plaisirs, criais mes montées de plaisirs et d’excitation quand j’entendis la voix laconique dans ma tête, du fantôme ordonnant : - Jouis, maintenant Ma chienne ! Alors, un ultime et violent spasme orgasmique m'arracha des râles de jouissance à n’en plus finir dans un orgasme rarement égalé en étant seule à me caresser. J'ai eu du mal à garder le rythme. Brusquement mon corps se cambra et je rejetais la tête en arrière dans de longs râles ...
    ... rauques ! De puissants et violents orgasmes successifs vinrent m'assaillir... J’en étais épuisée mais envahie de bien-être. Je souris béatement. Je m'écroulais un instant, inerte et haletante sur dossier de la cuvette. Il me fallut quelques minutes pour m’en, remettre alors que je n’entendis plus aucun mot du fantôme. Je me rhabillais le plus vite possible, remerciant le ciel que personne ne fut entré dans les toilettes car inévitablement, on m’aurait entendu crier mon plaisir jouissif. Je sortis des toilettes, payais ma consommation et quittai le bistrot. Une fois dehors, je fus repousser par une bourrasque de vent froid, et sous un ciel sombre chargé encore plus de gros nuages gris anthracite, je me hâtai de retourner à mon scooter. Alors qu'il commença à pleuvoir je me dépêchais de démarrer, me faufilant en trompe entre les voitures pour sortir de Villefranche, accélérant de plus belle une fois ses limites franchies, afin d’arriver au Château avant que la pluie ne devienne plus violente. Mal m'en fut car roulant trop vite sur cette route départementale boisée que je ne connaissais guère, je sentis soudain dans un virage, ma roue arrière glisser sur des feuilles mortes me faisant perdre subitement le contrôle, faisant choir mon scooter et moi avec, nous vautrant tous deux dans le talus sur le bas-côté de la route. Heureusement plus de peur que de mal, même si mon scooter en avait pris un sacré coup, remerciant en moi-même en me relevant doucement, mon père qui à l'époque m'avait ...