Sous les feuillages (2ème partie) / Sous un arbre exactement
Datte: 17/08/2021,
Catégories:
fh,
forêt,
amour,
Voyeur / Exhib / Nudisme
photofilm,
intermast,
init,
... j’engage jusqu’à frôler ma prostate, cet organe bizarre qui me plonge dans une extase insensée. Elle m’écarte donc les fesses, ses mains douces et fortes s’agrippent à ma chair, elles la pétrissent, l’enferment entre leurs doigts, mais ce n’est pas cela qui l’intéresse ce matin, c’est lui, il la passionne certainement, il la fascine par son ouverture à première vue bien cadenassée, j’en suis persuadé. Elle n’en est plus très loin. Elle s’interroge, comment peut-il s‘ouvrir ? Avec quelle clé ou avec quel code fonctionne-t-il ? Elle m’écartèle encore plus, elle va sûrement faire un gros plan. Est-il si beau, si envoûtant, ou ce qui la fascine est ce qui se cache derrière ses plis et replis ? Cette inspection minutieuse, cette découverte d’une partie de moi aussi secrète, aussi personnelle, le met sens dessus dessous, je le ressens. Il vit, il palpite, il y a quelques instants je percevais à peine ces contractions, c’est tout juste si elles m’agitaient et me perturbaient. Elles s’accélèrent, il s’affole, la chaleur qui s’était emparée de moi se transforme en de minuscules tisons incandescents qui rougeoient de plus en plus intensément et éclatent en étincelles partout dans mon corps. Mon ventre n’est plus qu’une pierre, et une barre le traverse au-dessus de ma vessie, une douleur vive s’est installée au cœur de mes testicules. Il y a en moi un bouillonnement terrible, je ne suis plus qu’un chaudron et mon esprit s’embrume un peu. Mon liquide, ma sève nourrie de tous ces ...
... mystères, entame sa course. Je ne le crois pas, pas aussi vite, c’est à peine si elle m’a touché. J’aime quand ma semence explose en une forme de gigantesque libération, que je fais tout ce qui est en mon pouvoir afin de la contenir en moi aussi longtemps que mes forces me le permettent, et qu’enfin je l’expulse. Voilà, j’en suis certain, elle a posé un doigt sur mon anus. Oh ! Cela a été furtif, à peine perceptible, peut-être l’ai-je même rêvé ? Non, je me connais suffisamment, j’ai senti les muscles de mon orifice se contracter, puis se relâcher et s’humidifier peu à peu. Elle va oser beaucoup plus et m’ouvrir, je râle de plaisir dans l’espoir de cette caresse plus audacieuse. J’attends exalté, mais rien ne se produit. Dommage, elle appuie sur mon flanc gauche pour me signifier de me tourner de nouveau, et je me retrouve face à elle avec mon sexe dressé, gonflé d’un afflux de fluides charnels, et qui n’en finit pas de vibrer. C’est exactement cela, elle souhaite le capter au maximum de son épanouissement, agité par tous les soubresauts et frissons qui le parcourent et l’assaillent. Des ondes ou plutôt une succession d’électrochocs, qui font qu’il s’abaisse légèrement, comme ployant sous un poids invisible, pour se relever presque aussitôt mû par une force inconnue. Il a droit à une photographie de face, mon gland touche presque l’objectif me semble-t-il ? Il pourrait se répandre dessus et le souiller. Tout serait flou mais si captivant. Elle se redresse et place l’appareil à ...