Sous les feuillages (2ème partie) / Sous un arbre exactement
Datte: 17/08/2021,
Catégories:
fh,
forêt,
amour,
Voyeur / Exhib / Nudisme
photofilm,
intermast,
init,
... elle aussi sur le point d’exploser dès que je la toucherai, si elle me l’autorise. Son corps est déjà perturbé par la montée de son désir, cette mise en scène est en elle, elle l’a vécue minute après minute et mon striptease n’a fait qu’attiser le brandon qui couvait dans son ventre. N’est-elle pas au bord de la rupture, de ce moment où tout déborde de soi et où il n’y a plus de contrôle possible ? Elle ne s’appartient plus et entre déjà en moi. Oui, je le sens à ses tressaillements qui agitent les muscles de ses cuisses, aux crispations du haut de son corps, à ses épaules qui se soulèvent et se contractent, à son visage qui se durcit. Je m’empare de la tache rose, à peine perceptible entre deux pans de chair. Elle fixe l’appareil photo, il est trop tard, elle vacille et sait maintenant qu’elle ne reviendra plus en arrière. Je peux lui en demander plus. — Monte ta jupe aussi haut que possible, s’il te plaît ? Elle roule l’étoffe sous sa poitrine et la fait disparaître entre son dos et l’écorce de l’arbre, afin qu’elle ne retombe pas. Elle a aussi plié légèrement les genoux et écarté les cuisses. J’ai face à mon regard scrutateur son triangle harmonieux, qui découpe son ventre juste en dessous de son nombril, couvre son pubis et disparaît dans son entrejambe. Le tissu de son string est dans une matière à peine transparente, plutôt opaque, et laisse comme une impression de flou, de sagesse relative. Il est vrai que je les souhaite toujours trop osés, presque inexistants, « ...
... microscopiques » et provocants. Je veux qu’ils soient là mais qu’en même temps ils me révèlent tout, je suis trop avide de cet univers charnel, il me bouleverse toujours et m’ébranle jusqu’au plus profond de moi-même. Pour moi, toute la femme est là, dans ce mont léger ou plus proéminent, au creux de ces replis qui accrochent ou fuient le regard, la femme dans sa complexité, dans son étrangeté et dans sa vérité. Je commence par m’imprégner d’elle, je devine une toison abondante mais un peu indisciplinée, toute blonde, traversée de quelques fins sillons plus sombres, elle déborde par endroits du tissu du string, quelques poils qui prennent l’air et qui m’incitent à venir les tirer afin de remonter très vite au secret qui m’intéresse. Je reste pourtant patient, cela me ressemble peu, mais avec elle je prends conscience que l’érotisme n’a que faire du temps qui s’écoule et de toute précipitation. Tout comme elle a procédé avec mon sexe, je place mon visage à hauteur de son mystère. J’approche une main lentement, aussi lentement que j’en suis capable, car il ne faut pas qu’elle se pose sur son mont de vénus mais simplement qu’elle en perçoive la chaleur. Il doit déjà être en pleine ébullition, et la présence de ma main indiscrète et pressée d’aller au-delà de la barrière du tissu, qui n’est qu’un piètre obstacle, ne peut qu’accélérer le feu intérieur. Je sais qu’il en est ainsi, je devine tout au bout de la pointe au rose un peu plus pâle une tache, sa lave s’échappe déjà. Encouragé ...