Aurélie et les garçons
Datte: 17/08/2021,
Catégories:
fhhh,
fplusag,
jeunes,
grossexe,
vacances,
noculotte,
Oral
... terrasse où se trouvaient les jeunes la veille. Mais le store est baissé. Ils se sont couchés tard, sont sortis le soir dans un bar voisin, et ne sont pas encore levés. Lorsqu’elle revient, un peu avant midi, ils sont là, dans le jardinet pour déjeuner, et de nouveau, les garçons la déshabillent du regard. – Bonjour, leur fait-elle avec un charmant sourire. – Bonjour ! lui crient-ils presque en chœur sans la quitter des yeux. Mais aucun ne trouve quelque chose de mieux à dire, et ils se contentent de l’observer passer de nouveau devant eux, tandis qu’elle roule exagérément des fesses. – Ouaouh ! s’écrie finalement Jérémy. Elle est vraiment super jolie ! – Et elle est trop bonne, surtout ! – Oh les gars ! rétorque Bastien, le plus jeune de la bande de copains, vous avez fini de triper sur une meuf de cet âge-là ? – Attends, tu trouves pas que c’est une bombe ? – Ben si mais c’est pas une nana pour nous, ça ! – Laisse tomber, il y connaît rien aux femmes, Bastien ! ricane Anthony, qui ne perd pas une occasion de se moquer de son ami qui, à dix-neuf ans, est toujours puceau, sans doute en partie à cause de son acné incessante. – En plus, elle a l’air d’être toute seule, dans son appart, remarque Fabien. L’après-midi, Aurélie va sur la plage ; elle sait que les garçons l’ont contemplée au passage et qu’ils vont probablement la suivre pour venir la guetter, l’épier. En effet, elle n’a qu’à peine le temps de se baigner quelques minutes avant de les voir poser leurs affaires à une ...
... dizaine de mètres des siennes. Elle nage un peu le long du rivage avant de sortir de l’eau, ses cheveux bruns ondulés dégoulinant sur ses épaules, son bikini mouillé collant à sa peau, à son bassin, à ses seins tendus. Les cinq copains n’en perdent pas une miette et elle le sait. Elle remonte lentement jusqu’à sa serviette où elle s’allonge pour sécher un instant au soleil. – Oh là là ! J’hallucine ! Comment elle est bien foutue ! répète Théo. – Ouais, fais gaffe, ça commence à se voir qu’elle te plaît, rigole Fabien en désignant le caleçon de bain de son ami. – Ouais, moi aussi va falloir que je me couche dans le sable ! Les garçons pensent sans doute qu’elle ne les entend pas, mais il n’y a presque aucun bruit sur la plage et même le mouvement des vagues ne suffit pas à empêcher Aurélie de les écouter, et de se délecter de leurs paroles. Elle prend un malin plaisir à se redresser sur ses coudes et se cambrer à outrance, arrondissant ses fesses et gonflant sa poitrine. Mais pour l’instant, elle ne les regarde que du coin de l’œil. Leurs jeunes corps quasiment nus, musclés, ne la laissent certes pas indifférente, mais elle attend que l’un d’entre eux fasse le premier pas. Ils n’osent pas, cependant ; ils continuent à la dévorer des yeux, presque lourdement, et ne s’interrompent qu’à peine lorsqu’ils décident de se baigner, ou de jouer au volley sur le sable. Et dans ces occasions, c’est au tour d’Aurélie de les observer, de les étudier, de choisir celui qu’elle trouve le plus ...