1. Aurélie et les garçons


    Datte: 17/08/2021, Catégories: fhhh, fplusag, jeunes, grossexe, vacances, noculotte, Oral

    ... beau, le mieux bâti. Dommage qu’ils portent ces longs caleçons et pas des petits slips de bain moulants, se dit-elle avec amusement. Et la journée s’écoule sans qu’aucun des garçons n’ose l’approcher. Ils sont timides, malgré leur insouciance et leur aplomb apparents. La jolie brune finit par envisager de rentrer ; elle passera à côté d’eux, peut-être que l’un des jeunes hommes se décidera à lui proposer quelque chose. Mais là non plus, rien d’autre que leurs regards impressionnés et de discrets bonsoirs souriants, alors qu’elle leur rend pourtant leurs œillades appuyées. En arrivant dans son appartement, elle prend sa douche, pour se rincer soigneusement de l’eau salée et du sable collant. Elle meurt d’envie de se caresser ; les corps bien galbés des jeunes hommes l’attirent, l’ont presque excitée, ainsi que la situation sur la plage. Mais ce n’est pas de ses doigts qu’elle a envie, mais bien d’une étreinte forte, et d’une verge dure. Elle se promet qu’elle tentera quelque chose dans la soirée ; peut-être pourrait-elle simplement aller leur demander du sel ? Et elle verra la tournure que prendront les événements… Les choses se passent toutefois différemment. Alors qu’elle sort tout juste de la salle de bains, en peignoir, on sonne à l’entrée de son appartement. Intriguée et amusée à la fois, elle va ouvrir et découvre Jérémy. Il est beau aussi, pense-t-elle immédiatement, et son sourire gêné est tout à fait craquant. Le jeune homme est en effet très confus presque ...
    ... tremblant. Il semble chercher ses mots et ses yeux se posent malgré lui sur la poitrine, puis sur les jambes de sa sculpturale voisine. Mais le peignoir ne lui laisse pas voir grand-chose. – Euh… Bonsoir, commence-t-il avec hésitation, je suis désolé de vous déranger… – Non, ne t’en fais pas, tu ne me déranges pas du tout, lui répond-elle avec un sourire chaleureux qui met le garçon un peu plus à l’aise. Si elle s’écoutait, elle lui dirait d’entrer, et peut-être que… Mais il poursuit : – Euh… les… les copains et moi, on voulait vous proposer de venir prendre l’apéritif avec nous… ce soir… enfin, tout à l’heure… euh… dès que vous voudrez… enfin… si vous avez envie, quoi… Aurélie prend un malin plaisir à le laisser continuer à parler et à s’embrouiller en rougissant ; mais elle est ravie de cette invitation. Ça la picote même instantanément entre les cuisses, comme si une vague d’excitation montait d’un seul coup en elle. – C’est d’accord, répond-elle simplement, soulageant infiniment le pauvre Jérémy dont le regard trahit soudain l’incrédulité. – C’est vrai ? Super ! Eh ben dès que vous voulez, on vous attend… – Alors à tout de suite. Il faut savoir se faire désirer, se dit-elle, et elle patiente une bonne demi-heure tout en laissant voguer ses idées. Et ses fantasmes. De nombreuses images défilent dans ses pensées, de nombreuses envies. Et puis elle se fait belle. Et surtout désirable. Elle veut les impressionner, elle veut encore sentir leurs regards avides sur son corps, elle veut ...
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