1. Nuit romaine


    Datte: 17/08/2021, Catégories: fhh, cocus, inconnu, vacances, essayage, amour, Voyeur / Exhib / Nudisme pénétratio, fdanus, occasion, couple+h,

    ... fois ; les épaules s’étalent puis repoussent ses bras sous l’oreiller. L’unique bougieclair-obscure magnifiquement sa superbe silhouette. Les yeux grands ouverts, le petit mari se noie dans cette beauté trop forte pour lui. Tout à son amour, il sourit comme seuls les idiots savent le faire. L’ambiance, sa forfaiture, sa lâcheté, tout le trouble et le culpabilise. La drogue désinhibitrice semble libérer l’évanescence de sa femme adorée. Son animalité révélée, elle dévoile une impudeur inconnue et délicieuse. Les mouvements sont si infimes qu’ils sont difficiles à percevoir. Le ventre se plaît contre la soie, entraîné par les lentes contractions des fesses. Les rondeurs imposent leur envie et leur force à l’ensemble du corps. Le mari tout à son observation relève la nuisette au-dessus des reins de sa femme. LE cul magnifique se révèle éclatant dans son habit de pouvoir. La main du mari, prête à toucher le fruit défendu(4 à 5 fruits par jour qu’ils disent !), laisse le temps se (sus)pendre tout seul. Le moment est émotionnellement intense. La paume effleure le mont-blanc des fesses puis descend en immisçant quelques doigts volontaires vers l’entre monts. Tour à tour, ils survolent l’anus et ses pâquerettes. Le désir est à fleur de peau. Le corps caressé répond aux sollicitations. Les cuisses se détendent puis se referment. Les fesses repoussent cette main libidineuse ; elles s’élèvent comme propulsées par le choc de deux plaques tectoniques, les cuisses d’un côté et le creux des ...
    ... reins de l’autre. Le postérieur ainsi relevé s’ouvre à tous les plaisirs. Les doigts s’attardent autour de l’anus en appuyant légèrement sur ses petits plis. Le petit mari ne compte pas son plaisir. Voir la sensualité de sa femme enfin libérée l’impressionne et renforce son amour. Il y a malheureusement un peu de dépit également dans ses pensées. Il est en effet très rare qu’il ait pu susciter un tel abandon et une telle énergie sexuelle chez sa femme lors de leurs copulations nocturnes (très nocturnes). Sa lâche satisfaction ne lui fait pas oublier le subterfuge qu’il a fallu utiliser. Ses rêveries sont interrompues par un râle. Un râle profond : — Sssroo… Ssandrooo. Cela fait une petite demi-heure qu’un autre homme est dans la pièce et attend son heure. Assis dans l’obscurité, il apprécie avec gourmandise le spectacle de cette femme si vivante et sensuelle. Mais le moment est venu, il le sent. Alors, quand il entend son prénom murmuré par la belle, il sourit aussi largement que son « repas » sera magnifique. Rêveur à ses heures, il supposait que la rencontre fortuite d’hier matin avec cette belle Française avait laissé quelques ecchymoses de désir dans son petit cœur de touriste bourgeoise. Elle rêve assurément de lui. Le petit mari accepte sa défaite face au sourire d’empereur romain pendant son triomphe d’Alessandro. Embuée dans sa réalité onirique ; Chloé ne se pose pas de question sur la présence de son guide préféré ; elle a tellement envie de vivre à travers ses sens ...
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