Maîtresse Viviane
Datte: 17/08/2021,
Catégories:
hh,
fhh,
hsoumis,
facial,
Oral
double,
hdanus,
... sensation double, un petit peu de douleur de me sentir élargi de force mais aussi mais surtout le plaisir délicieux de me sentir pénétré, possédé par son doigt, bien profondément. Ma femme m’avait parfois, sur mon insistance, appliqué une telle caresse, mais ses doigts étaient fins et sa peur de me faire mal, peut-être aussi sa gêne de faire ce geste n’avaient jamais réussi à me satisfaire. Là, j’étais comblé. Viviane ne voulait pas savoir si je ressentais de la douleur. Elle me prenait à son goût, à son envie. Et son doigt était exactement du diamètre de mon entrée. Ma queue qui avait durci pendant l’attente s’était dressée, dure, presque instantanément aux premières approches mais avait aussi presque immédiatement commencé à dégorger son jus sans que je n’en aie plus le contrôle. — Mais c’est qu’il jouit du cul, ce petit enculé ! avait fait à mon oreille la voix de ma Maîtresse qui me regardait dans le miroir, par-dessus mon épaule. L’humiliation d’être ainsi dominé au point de connaître une éjaculation précoce était venue rajouter le point d’orgue à mon plaisir. Bien entendu, Viviane n’avait plus voulu que je la pénètre de ma queue ramollie et avait exigé que je la lèche jusqu’à l’orgasme, sachant bien entendu que je n’étais pas très fan de cette action. Que je n’appréciais pas avant de la connaître. Car depuis, la simple idée de devoir lui embrasser la fente par obligation m’excitait au plus haut point et me faisait goûter à sa mouille comme s’il s’agissait de la plus ...
... fine des liqueurs. Car quand on a décidé d’obéir… on obéit, n’est-ce pas ? Et elle m’avait ensuite récompensé en m’embrassant amoureusement, sa langue venant chercher sur mes lèvres les traces de ses jus qu’elle semblait apprécier au plus haut point. Je n’oserais jamais lui demander si elle appréciait aussi les femmes, mais cette seule idée de l’imaginer avec une partenaire consentante ou soumise multipliait mon plaisir… À notre rencontre suivante, son imagination m’avait fait coucher sur le dos. Elle m’avait dit de remonter mes jambes en plaçant mes mains sous mes genoux et m’avait enfoncé son pouce entre les fesses ainsi bien écartées. Là, je n’avais pas joui, apprenant peu à peu à mieux me retenir. Satisfaite, elle m’avait libéré puis, accroupie sur moi, s’était servie de mon sexe dur bien planté en elle pour rechercher son propre plaisir. Lorsqu’elle eut joui, elle me permit de me toucher la queue jusqu’à ce que j’explose sous son regard amusé. Puis elle recueillit mon jus de la main et me la présenta à lécher. J’eus un recul, elle frotta sa paume sur mon visage, étalant les sucs encore chauds puis me saisit les bourses à pleine main. La menace était claire, alors j’ouvris la bouche et, de la langue, je léchais la main aimée de la Maîtresse qui savait si bien alterner douceur et autorité. Arriva enfin l’occasion sublime par laquelle ma Maîtresse fit de moi son objet, son esclave, et me permit d’atteindre la sommité du plaisir. Ce jour-là, nous étions chez elle, un honneur, ...