1. Maîtresse Viviane


    Datte: 17/08/2021, Catégories: hh, fhh, hsoumis, facial, Oral double, hdanus,

    ... ferma les yeux et supporta l’offense sans un mot. Et alors que, calmé, je commençais à me répandre en excuses, elle ne prononça que quelques mots : — À genoux, lèche ! Et je dus nettoyer tout son visage avec ma langue et mes lèvres, réabsorbant tout mon jus. Puis, satisfaite, elle m’annonça qu’un jour elle me ferait payer ce manquement aux convenances. Le jour était venu. Elle me fit m’agenouiller devant cet autre homme. Je ne voyais plus que cette queue dressée devant mes yeux. Je me doutais un peu de ce qui m’attendait mais j’avais encore un espoir d’y échapper. Mais Viviane était beaucoup plus maligne que moi. Elle ne voulait plus m’y obliger : elle voulait que je le fasse seul… Alors elle s’agenouilla à côté de moi, me saisit la queue, se mit à me branler et me souffla à l’oreille : — Tu sais qui était dans ce lit hier ? À crier son plaisir et à me supplier d’arrêter de la faire jouir ? Ta femme. Ta petite femme, que j’ai séduite, et à qui j’ai tout fait. Tout ! Et qu’est-ce qu’elle lèche bien un con, cette petite, elle a du futur… Je sus à l’instant même qu’elle me disait la vérité. Ma femme était vraiment revenue la veille apparemment épuisée. Et elle s’était jetée sous la douche, comme si elle venait de passer trois heures dans une académie de gymnastique. Et le soir, elle avait refusé toute approche de ma part… — Est-ce vrai, Maîtresse ?— Allons, bien sûr, sinon comment saurais-je qu’elle a la chatte bien rasée mais une petite cicatrice de rougeole juste au-dessus ...
    ... de l’amorce de la fente ? Et qu’au moment de jouir, elle aime qu’on lui plante les ongles dans les fesses en la menaçant de la livrer à une femme très autoritaire qui ferait d’elle sa servante ? Aucun doute, c’était bien ma femme. Le plaisir de savoir qu’elle avait couché avec ma Maîtresse combattait la déception de constater que contrairement à ses promesses répétées, elle ne m’avait pas raconté son expérience. Pourtant, elle me l’avait promis… Mais l’idée de l’imaginer écartelée sur ce même lit, jointe à la pression de la main de Viviane sur ma queue emporta bientôt toute résistance. La queue devant moi m’attirait. Je me penchais peu à peu. — Allez, vas-y, suce-le… me fit à l’oreille ma Maîtresse. Suce-le et je baiserai ta femme devant toi… J’ouvris les lèvres et j’engloutis le mandrin. Pour la première fois de ma vie je tenais le gland d’un autre homme dans ma bouche. Et je savais ce que sucer veut dire… Perdu dans un brouillard de sexe, je le pompais à la force de mes joues, de ma langue, cherchant à lui donner un maximum de plaisir. J’appréhendais autant que je désirais sentir le flot âcre se déverser dans ma bouche. Mais quand il jouit, je ne pus avaler comme je me l’étais promis. C’était trop pour une première fois et je laissai le sperme ressortir de ma bouche, par vagues, au rythme où crachait sa queue tandis qu’il gémissait de plaisir et que j’entendais, au loin, la voix de ma Maîtresse me dire : — C’est bien, suce, suce-le comme la pute que tu es, vas-y, suce sa ...