Vacances avec ma Filleule (8) - Histoires de Sexe

Vacances avec ma Filleule (8)

Le lendemain matin, je suis le premier au petit déjeuner. Alex se lève peu après. Elle marche en boitant un peu et grimace légèrement quand elle s’assoit. Je souris. • Pourquoi souris-tu, parrain ? • Ta démarche et tes grimaces. • C’est pas drôle, j’ai mal au cul ! • Je ne me moque pas : c’est un sourire de satisfaction. • Comment ça ? • Je suis fier de toi et de tes performances d’hier. • Merci. J’ai été à la hauteur ? • Bien plus, même ; je ne pensais pas que tu en ferais autant. • Je voulais te faire plaisir et que tu sois fier de moi. • C’est réussi ! Tu as beaucoup mal ? • Non, juste un peu ; en fait, c’est plus des sensations de brûlure. • OK. Je te passerai de la crème cicatrisante après le petit déjeuner. • Je veux bien, merci. • De rien. • Delphine n’est pas encore réveillée ? • Non, elle faut qu’elle récupère : elle n’a plus ta cadence. Nous partons dans un fou-rire. Le petit déjeuner fini, Alex part prendre un bain très chaud pour se détendre un peu ; moi, je profite du soleil matinal sur un des transats de la terrasse. Delphine pointe le bout de son nez ; elle m’embrasse langoureusement. Dans cette position, j’ai une vue imprenable sur son décolleté. Ma main remonte sur ses cuisses et se cale sur son con. • Du calme, mon cher mari ; Cédric m’a ruiné ma rondelle, hier, elle me brûle à mort. • Toi aussi ? • Comment ça ? • Alex aussi marche comme un cow-boy ! • Vous lui avez fait quoi ? • Eh bien figure-toi, notre petite Alex a reçu sa première double avec deux ...

... vraies bites hier, et elle s’est débrouillée comme une pro. • NON ! • SI ! Et elle a adoré. J’ai pris son cul, et Cédric sa petite chatte. • Une vraie chienne… On l’a bien éduquée ! • Tout à fait ! Tu voudras de la crème aussi, je suppose ? • Ce ne sera pas de refus. Peu de temps après, Alex sort de la salle de bain complètement nue, le tube de crème dans la main. • Parrain, tu veux que je m’installe où pour que tu me mettes ma crème ? • Où tu veux, ma chérie. Sur ton lit tu seras bien installée, comme ça. • OK, je t’attends. Quand j’arrive dans sa chambre, elle m’attend sur le dos, les jambes écartées, prête à recevoir mes caresses et sa pommade. J’enduis mes doigts de crème et lui demande de mettre un oreiller sous son bas-ventre. Une fois en position, de la main sans crème je lui écarte la raie ; ses deux orifices sont rouges. De mon autre main, je commence par ses grandes lèvres que je masse délicatement. La crème froide, au contact de ses lèvres, la fait sursauter. J’enduis maintenant ses petites lèvres et je remonte vers sa rosette qui réagit à mon passage. J’enfonce un doigt dedans ; Alex réagit par un souffle long et profond. Je recommence mon intrusion en y allant plus franchement ; je n’ai aucune résistance de sa part. Un deuxième doigt rejoint le premier. Je lui doigte l’anus en bonne et due forme, et elle jouit sous mes doigts. Je l’embrasse sur son tatouage et commence à sortir de sa chambre. • Parrain, tu vas où ? • Je te laisse t’habiller. • Non, viens. Toi aussi tu ...