Vacances avec ma Filleule (8) - Histoires de Sexe

Vacances avec ma Filleule (8)

... se débrouille super bien, Delphine prend un pied d’enfer. Elle sort ses doigts du vagin de sa proie pour lui écarter les cuisses outrageusement et retourne direct à l’attaque. Grâce à ça, maintenant j’ai une belle vue sur son futur exploit. Elle y est presque ; elle force de plus en plus… Ça y est : sa main rentre, la chatte de Delphine a enfin cédé. Alexandra sursaute de surprise, Delphine, surprise aussi par cette intromission, hurle de plaisir et repart dans un orgasme frénétique. Alex veut enlever sa main quand Delphine lui saisit le poignet et la regarde dans les yeux. Sans un mot, Alexandra comprend qu’elle doit continuer. Ses mouvements sont doux, puis de plus en plus rapides ; à la fin, elle pulvérise littéralement le con de sa maîtresse. Delphine se cramponne à l’oreiller qu’elle a mis sur son visage pour hurler sa jouissance de toutes ses forces. Ses seins se ballotent au rythme du pistonnage d’Alex, qui sort d’un coup son poing ; un jet de cyprine le suit. Alex le prend sur le ventre et le pubis ; elle reste là, les yeux grands ouverts, le poing et le bas-ventre luisants de la cyprine de sa tante. Delphine, essoufflée, retire le coussin de sa tête et fait signe à Alex de s’approcher. Elles s’embrassent amoureusement. Je profite de ce moment pour redescendre dans le salon. Toujours avec une trique énorme, je m’adonne à une branlette rapide et sauvage. Je me répands allègrement sur mon ventre, puis je reste comme ça pendant quelques instants, prêt à m’assoupir ...

... quand j’entends la voix d’Alexandra : • Le spectacle t’a plu ? Je relève la tête en sursaut. • Quel spectacle ? • Celui de là-haut. Dans la chambre. • Je vois pas de quoi tu parles… • Menteur ! Je t’ai vu nous mater, et ça t’a plu, à ce que je vois… • Grillé ! Bah, comme tu peux le voir, oui, énormément. • J’ai réussi, parrain ! • Réussi quoi ? • À fister tata ! Je suis trop contente ! • J’ai vu ; tu as encore franchi une étape. Je ne sais plus quoi t’apprendre, ma chérie. • Je suis sûre que tu as encore plein de choses à m’apprendre, comme me fister, par exemple. • Carrément ! Maintenant ? • Non. Là, à vrai dire, j’ai mal à tous mes trous ; mais pourquoi pas dans quelques jours ? Il nous reste une semaine, non ? • Tu as raison. Tiens, pendant que tu es là, file-moi un mouchoir. • Pourquoi un mouchoir alors que tu as une filleule docile et gourmande de foutre ? Sans un mot de plus de sa part – ni de la mienne d’ailleurs – Alex s’agenouille devant moi, prend ma bite molle dans la main, la gobe entièrement, la suce et se charge ensuite de mon ventre et mes couilles. Une fois que je suis propre, Alex se relève et m’embrasse sur la bouche. Son baiser a le goût de mon sperme. Contente d’elle, elle part vers sa chambre en sautillant. J’entends sa porte claquer. Je me rhabille et monte voir si Delphine a besoin d’aide ; je la trouve endormie, recouverte d’un drap. Alex s’était déjà occupée de ses besoins ; un vrai gentil petit bout de femme ! Je finis la journée seul à profiter de la ...