1. Le professeur, sa Maîtresse et l'élève


    Datte: 18/08/2021, Catégories: BDSM / Fétichisme Partouze / Groupe

    Certes, je ne suis pas un écrivain, je n’ai pas la prétention d’avoir la plume des Baudelaire, Zola, Hugo et autres grands écrivains. J’écris comme je pense. Parfois, je me mélange un peu les pinceaux. Je fais pas mal de fautes en grammaires, en orthographe et en français, je vous en demande pardon d’avance. Le principale étant que j’écrive de manière libérée et comme je le sens. Encore une fois, si cela déplaît, on ne peut pas plaire à tous. Encore une chose, j’ai écrit pas mal d’histoires. Dans tout, il y a une partie de ma vie qui y figure. Je vous laisse chercher. Et puis, ce n’est pas aujourd’hui, à mon âge, que je vais changer ma manière d’être, surtout que je m’amuse tellement en écrivant et donc…Quand une lycéenne tombe amoureuse de son prof, rien de plus normal. Que ce dernier fasse découvrir des domaines inconnus, des territoires en friches, fait partie de l’expérience. Mais que derrière l’homme, le prof brillant, se profile une nouvelle silhouette, voilà qui est moins banale. Surtout si cette silhouette est féminine…Je venais d’entrer en terminale et le professeur de littérature était gouailleur, Caustique, volontiers railleur et cynique, une mèche de cheveux qui retombait perpétuellement sur ses yeux, de petites lunettes rondes et un air malicieux pour regarder par-dessus, des mains longues aux doigts fins et nerveux : il n’en fallait pas plus que je tombe amoureuse.Il me troublait avec ses paradoxes. « La liberté, c’est l’acceptation de la nécessité » ou « la ...
    ... valeur morale réside dans l’épanouissement du groupe ». Contradictions apparentes qu’il détaillait avec rigueur, tel un professeur de philosophie. C’était la première fois que quelqu’un bousculait mes idées toutes faites, sapait mes certitudes et m’obligeait à penser par moi-même.Au bout de deux mois, j’étais séduite, au bout de trois, conquise. En moi-même, je l’appelais par son prénom. Victor, et je m’imaginais comme sa plus brillante discipline. En réalité, il faisait à peine attention à moi. C’est pourquoi, son attaque m’a prise entièrement au dépourvu. Je me suis retrouvée dans son lit, un samedi après-midi et j’étais sa maîtresse.Je reprenais mon souffle, allongée à côté de lui, et j’observais du coin de l’œil cet homme qui venait de me faire jouir sans me laisser beaucoup d’initiatives. De toute façon, je n’aurais pas osé en prendre. Tout s’était passé trop vite. La rencontre, les sourires moqueurs, la proposition. Ses mains qui m’avaient déshabillée sans hâte alors que je me sentais fiévreuse.Des caresses et puis son sexe en moi. J’avais déjà fait l’amour avec des garçons de mon âge mais, c’était la première fois avec un homme. Victor avait la quarantaine d’années. Il était en outre le prof de littérature dont j’étais amoureuse depuis deux mois. Ça m’intimidait un peu. Il avait eu la patience et l’habilité de m’aider à surmonter ma réserve.Ensuite, la gourmandise sensuelle de mon corps avait gommé ma retenue. Elle avait exigé son dû et j’avais remué les reins et le ...
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