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Le professeur, sa Maîtresse et l'élève
Datte: 18/08/2021, Catégories: BDSM / Fétichisme Partouze / Groupe
... debout contre la porte. Nous étions déshabillés ni l’un, ni l’autre et l’élastique de mon slip me mordait les cuisses pendant que sa verges me faisait jouir très vite et très bien.Au moment de partit, il m’a demandé si je reviendrai pour la cravache. J’ai fait signe que oui. Ma gorge était trop nouée pour que je puisse dire un mot. La fois suivante, Victor avait disposé sur le lit, un corset blanc bordé de dentelles qui laissait à découvert le haut de mes seins, le pubis et mes fesses. Il m’a aidé à le lacer dans le dos et j’ai fixé moi-même les bas blancs après les longues jarretelles.Les balconnets du corset soutenaient mes seins par-dessous mais, ne cachaient même pas mes tétons qui semblaient reposer sur la bordure de dentelle. Victor a emprisonné mes poignets dans des menottes garnies de velours qu’il a accroché au pied du lit. L’attache était symbolique et elle m’obligeait surtout à me tenir un peu penchée vers l’avant.Victor m’a demandé si je voulais la cravache. J’y pensais depuis quinze jours. C’était ce qui m’avait tenue si longtemps éloignée de lui. J’étais obligée de reconnaitre que la douleur que j’ai ressentie, si intimement liée à la jouissance, avait exercé sur moi une profonde attirance. Une sorte de fascination physique que je ne pouvais nier.Et plus encore, un envoûtement psychologique que me faisait peu à peu. L’idée d’être livrée à un homme qui pourrait exiger de moi ce qu’il voudrait. La répulsion instinctive que j’éprouvais à cette et la séduction ...
... dangereuse qui s’insinuait dans mon esprit. Cette abdication de ma volonté dans la volonté d’une autre dégageait un charme trouble qui me perturbait.Victor a cravaché ma croupe jusqu’à ce que j’éclate en sanglots et l’implore d’arrêter. La souffrance physique était intense mais j’avais retrouvé dès le premier coup de cravache toutes ces sensations qui m’avaient tenue si inquiète depuis deux semaines. Une excitation indéniable qui irradiait sa chaleur à l’intérieur de mon ventre.La correction avait été dure que je m’étais laissée tomber sur les genoux. Je savais qu’il suffirait que Victor introduise sa verge dans moi pour provoquer un orgasme délicieux. J’attendais et je m’en voulais de l’attendre. J’avais honte de me soumettre et cette honte me procurait une sombre et lourde satisfaction intérieure.Victor m’a demandé si je voulais quelque chose et j’ai répondu « baise-moi s’il te plait, baise-moi… » À cet instant, la porte du studio s’est ouverte et une femme est entrée. J’ai voulu me relever, mais un coup de cravache m’a rejetée à genoux. La femme était la brune que j’avais vue avec Victor sur la place du marché aux chevaux.- Tu crois que je peux la prendre en main mon petit Vicki ?- Oui Maîtresse, je crois qu’elle a des dispositions…- Est-ce que tu l’as possédée par le cul ?- Oh non, Maîtresse, je savais que tu la réservais pour toi…- C’est bien mon Vicki, laisse-moi maintenant…La femme s’est assise sur le lit et elle m’a regardée longtemps sans rien dire. Je savais que mes yeux ...