1. Le professeur, sa Maîtresse et l'élève


    Datte: 18/08/2021, Catégories: BDSM / Fétichisme Partouze / Groupe

    ... puberté. Une fente rouge bordée de lèvres inégalement découpées et légèrement entrouvertes. Cette vision me rebutait un peu et j’ai rapidement détournés les yeux.Elle a glissé deux oreillers sous mes reins et elle a attaché mes chevilles et mes bras aux montants du lit. Je ne pouvais plus bouger mais, je ne m’en souciais pas. Une apathie étonnante c’était emparée de moi. Comme si ce qui m’arrivait ne me concernait pas. J’avais l’impression d’être spectatrice d’une représentation qu’on allait jouer devant moi.Même ma gêne et ma honte avait disparu. J’avais parfaitement conscience de mes reins surélevés, de mes cuisses écartées et du tableau impudique que j’offrais. De ma vulnérabilité de mon sexe ouverte et sans défense. Irène avait dit qu’elle allait le fouetter et je n’éprouvais pourtant aucune crainte. Je me sentais curieusement détachée.Elle s’est mise nue pour me fouetter et j’admirais son corps aux formes pleines et épanouies. Elle était exactement telle que j’aurais voulu être. Des seins fermes et abondants, un ventre large et doucement arrondit, des hanches amples, un derrière rebondi et parfaitement rond, des cuisses solides et galbées comme celles d’une statue.Je la voyais si sensuelles et si belle dans sa maturité que je ne comprenais pas ce qu’elle me pouvait me trouver. Elle m’a fouettée avec une précision effrayante. À tous les coups, elle atteignait le sillon de mon sexe. La souffrance a failli très vite m’obliger à crier mais, j’ai réussi à me contenir sans ...
    ... proférer un son. Je pleurais en silence.Ça n’était pas du goût d’Irène qui s’est acharnée pendant de longues minutes. À la fin, elle se concentrait presque exclusivement sur mon bouton et j’ai cru qu’elle allait le déchiqueter. C’est alors qu’elle s’est arrêtée. Une impression de froid m’a fait trembler et je me suis rendue compte que j’étais en nage. Couverte de sueur qui avait transpercé le corset.Je pleurais toujours, sans discontinuer. C’était comme si j’étais perdue toute seule au fond d’un gouffre glacial. Abandonnée de tous, sans aucun espoir de me retrouver. Irène s’est agenouillée à côté du lit et elle a posé sa joue sur mon pubis en tournant son visage vers le mien. La douceur de sa joue duveteuse sur le renflement du mont-de-Vénus. Ses yeux dans les miens.J’étais si lasse que je me suis endormie. J’ai sans doute dormi longtemps puis que j’ai ouvert les yeux, la nuit commençait à tomber et le studio était déjà dans la pénombre. La joue appuyée sur mon pubis, Irène me fixait de ses yeux sombres et brillants. J’avais grimacé un sourire. La souffrance assagie s’effaçait peu à peu.Avec d’infinies précautions, Irène a léché les rebords de mon sexe. L’amorce du sillon. Un extraordinaire sentiment de calme et de paix m’a envahi. La langue d’Irène s’est petit à petit hasardée à suivre la crête dentelée de mes grandes lèvres. Elle faisait renaitre une douleur diffuse et lointaine mais le bien-être et la chaleur sont progressivement devenus plus fort.Je n’ai pas tardé à prendre ...
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