1. Douce liqueur (1)


    Datte: 20/08/2021, Catégories: Hétéro

    ... chair tandis que je pose la droite sur mon pénis en érection. Je commence à soulager ma tension en massant doucement mon gland sous tes yeux curieux. Tu empoignes mes fesses, effleurant ma raie. Mes doigts entourent mon membre, montent, descendent. Je n’ai pas besoin d’accélérer le rythme, l’orgasme me submerge. Je me raidis comme une barre de fer, ma respiration bloque, ma bouche grande ouverte produit un grognement primal intense alors que je gicle sur le haut de ta poitrine. Pendant que je retrouve mon souffle, je lis la fierté sur ton visage. Tu sembles avoir aimé la démonstration. Je me lève pour aller chercher une serviette mouillée. Je récupère au passage la bouteille et te la tends. J’essuie le sperme et nettoie quelque peu nos sexes. L’alcool qui coule dans nos veines agit en parallèle avec les endorphines que produisent nos corps, nous berçant dans un bien-être sans égal. Tu remarques que je bande de nouveau. Étonnée? Comment pourrais-je ne pas être excitée devant la tigresse en chaleur que tu es? Tu saisis mon membre, peut-être veux-tu juger de la raideur. Qu’importe, tu ne seras certainement pas déçue. J’ai tellement envie de toi, je veux te voir jouir de nouveau et tu le sais! «Moving up slowly Inertia creeps» Tu me retournes sur le dos pour t’empaler sur ma queue. Maintenant à califourchon sur moi tu es resplendissante, toute souriante. Je me redresse et porte ma bouche pour te téter affectueusement. Cela ne dure qu’un instant puisque tu me repousses et prends ...
    ... appui sur mon torse imberbe. Tu mets en marche un mouvement de hanche indécent, totalement irrésistible. Je suis au paradis. Mes mains effleurent ton corps en entier. Si j’avais dix mains peut-être pourrais-tu réaliser l’intensité de mon désir. Ton corps ondule comme celui d’un serpent, tu prends bien ton temps. Tes mains parcourent mes muscles abdominaux et pectoraux qui se contractent sous le traitement. Je suis obnubilé par le spectacle, le simple fait de voir comment tu frottes tes petites lèvres contre mon pubis suffirait à renouveler mon orgasme. -Je vais perdre la tête si tu continues comme ça! -Tu rentres loin dans cette position, j’aime beaucoup trop! Je te laisse gérer le rythme, je reste docile de ma position couchée. Je me rince l’œil et te flatte les seins, les hanches, le ventre et le clito, tout y passe. Ton sexe humide se trémousse en sonnant comme une pêche mûre qui serait dévorée par un affamé. Si tu ne t’amusais pas autant à me chevaucher, je devrais satisfaire cette envie de te manger. Maintenant, il n’est plus question de te frotter, tu te remues de plus en plus fort en me pompant et faisant claquer notre peau mouillée qui fusionne. Tu prends plaisir à la manière fabuleuse qu’ont les femmes de jouir sans fin, sans explosion finale, tout simplement en préservant l’intensité pendant un long intervalle. yoiybbaz Un bon moment passe, tu es essoufflée et luisante de sueur. Tu t’accroupis sur moi, tes pointes viennent me picoter le torse, j’ai l’impression que ...
«12...789...»