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Fatalisme : M.A.K my life… ou presque XVI
Datte: 20/08/2021, Catégories: BDSM / Fétichisme
... leurs révisions en silence. Margot était chez sa mère. Je finissais de vider le lave-vaisselle quand Kemb m’a appelé. - Amène du café s’il te plaît man… J’ai obéis. En servant Kemb il m’a mis une main au fesses - C’est vrai que t’as un beau cul pour un mec. Encore bien serré. Une bitte molle mais un beau cul. Mathieu a enchaîné - On est crevé, on a besoin de se décontracter le cocu… - Ouais Mathieu a raison. Une petite pose s’impose. Ta meuf n’est pas là. Tu peux la remplacer s’il te plaît ? T’as rien contre j’espère ? La formule de politesse était parfaitement ironique. Mathieu a enchaîné avec un large sourire ironique : - Passe sous la table, tu vas calmer notre stress pendant qu’on révise. Kemb a appuyé la demande de Mathieu d’une voix autoritaire. - Allez t’attends quoi mec ?... On a du taf et toi aussi.. Ils ont baissé leurs jog et caleçons. Ils bandaient déjà et tenaient leur sexe à la racine. Les deux bittes érigées attendaient ma bouche. Je suis passé sous la table sans révolte. Kemb a ajouté - Allez on va être sympa mec, t’as le droit de te branler en nous suçant. C’est cadeau. Leurs sexes ont encore grossis et durcis. Mélange d’odeurs de sueurs et savons. Je suçais lentement le tandem bicolore en me branlant. Ils ont repris leur révisions en silence, sûrs de leur pouvoir sur moi. Juste des claques sur le haut de ma tête quand la fellation ne leur plaisait pas. Cela a duré longtemps. Très longtemps. Ils prenaient leur temps… Et moi aussi. J’y prenais un certain ...
... plaisir et j’avais honte de mon comportement. Le mari à genoux entre les jambes de jeunes amants ; pire que n’importe quel fantasme de cocu virtuel. A part que leurs sexes, n’avaient vraiment rien de virtuels quand ils tapaient contre ma glotte. J’ai jouis avant eux. Ils ont raisons de dire à ma femme qu’un mec peut jouir mou. oooOOOooo Effectivement Kemb est triste. Je n’aurais jamais cru cela d’un mec comme lui. Mathieu ne pouvait pas refuser ce poste et dans la fougue de sa jeunesse, il a expliqué à son ami qu’un an c’était court et que il reviendrait vite. En plus avec ces nouvelles messageries sur Internet il pourrait communiquer facilement. Le dernier week-end Mathieu fut traité comme un roi. Il a eu droit à tous les trous de ma femme et les miens. J’ai repassé tout son linge. Il m’a pris la bouche et le cul à satiété. Margot a vérifié dix fois sa valise. A poil ! Un vraie mère pour lui. A part que je pense pas qu’il aurait mis sa bitte au plus profond du cul de sa mère ! Margot a feulé longtemps sous les derniers assauts de Mathieu. Les jours suivants il y a eu un grand vide. Ce grand échalas nous manquait. oooOOOooo Début Février Kemb n’est plus venu. Margot était désespérée. Elle l’appelait dix fois par jour. Le suppliait, pleurait sans retenue. Quand je l’interrogeais, elle restait muette se contentant de me dire : - C’est rien Didou.. C’est rien… Ca va aller… Pendant plus de quinze jours d’affilés, nous avons dormi seuls dans notre lit. Une si longue période n’était ...