28 ans
Datte: 21/08/2021,
Catégories:
fh,
ff,
ffh,
jeunes,
nympho,
grosseins,
caférestau,
dispute,
cérébral,
entreseins,
Oral
69,
pénétratio,
fsodo,
hdanus,
coprolalie,
occasion,
... ; ce dernier, affable, était immédiatement venu les servir. Paul savait commander. Marine appréciait les hommes comme lui, chez qui on pressentait au premier abord une tendance dominante, le sens de la direction. Ils marchèrent côte à côte, elle se sentait petite, ça lui plaisait. Paul n’accordait pas d’importance aux gens autour d’eux, il donnait l’impression de ne voir qu’elle. Neuf heures du soir en été. La nuit s’annonçait, lointaine, lente. L’été, le temps est ralenti. Il conduisit Marine jusqu’à son appartement. Il ouvrit la porte sur un trois-pièces chaleureux mais désordonné. À peine entrés, ils se retrouvèrent l’un contre l’autre, Marine caressait l’épaule de Paul de ses cheveux longs, comme un animal soumis. Paul passa ses doigts dans la chevelure épaisse de la jeune femme. Il souligna sa nuque. Avec douceur. Il empoigna les cheveux. Avec fermeté. Sans lâcher prise, il conduisit Marine dans la chambre et l’invita à s’allonger sur le lit froissé. Avait-elle le choix ? Il s’allongea sur elle. Il prit sa tête entre ses mains. Il l’obligea à soutenir son regard vert et ça la perturba. Longtemps. Côté émotion, à cet instant, elle prit cher. C’était ça aussi le risque, en prendre plein la vue, plein la tête, plein le cœur. Il l’embrassa. Un baiser profond, un baiser mordillé, un baiser presque aérien se succédaient, et elle, elle réclamait la bouche de l’homme, elle venait la chercher, alors il se dérobait. Quand elle comprit qu’elle ne gagnerait pas, il l’embrassa à ...
... nouveau, fougueux. Il saisit entre ses doigts un sein énorme et le fit tourner, le malaxa. Elle voulait des morsures, il ne mordit pas. Il avait prévenu. Elle ne gagnerait pas. Il se dressa à côté du lit. Droit. Un torero dans l’arène. Le sexe bandé arqué dans son jean. Elle défit les boutons, écarta les pans rugueux, fit glisser le boxer sur les cuisses dures et minces de Paul. Elle suça avec force salive et si Paul ne la touchait pas il la savait trempée. Il y a des évidences comme ça. Ce qu’elle était belle, la petite Marine, à le sucer sagement et consciencieusement comme ça… Elle y mettait du cœur à l’ouvrage, et osait à peine regarder Paul, toujours soumise. Paul lui glissa : — Ah, ce que c’est bon, ce que tu me fais, ma petite pute. Tu es sacrément bandante comme ça ! Mais tu n’arriveras pas à me faire jouir, malgré tous tes efforts de petite chienne en chaleur… Ma bite va rester bien droite et ferme jusqu’à ce qu’elle te défonce ta chatte de petite salope. Tu vas voir, tu ne perds rien pour attendre. Et Marine, toute excitée par la situation, commençait à se caresser de sa seule main libre, on la voyait descendre dans le 501 qui lui restait collé à la peau, au ventre, à ses fesses bien rebondies… Paul se dégagea soudain, ne voulant pas céder à la tentation, et la regarda droit dans les yeux, des yeux qui semblaient affamés, qui ne demandaient qu’à jouir et à faire jouir, et lui dit : — Tourne-toi que je puisse admirer ton beau petit cul. Marine s’exécuta sagement, ...