28 ans
Datte: 21/08/2021,
Catégories:
fh,
ff,
ffh,
jeunes,
nympho,
grosseins,
caférestau,
dispute,
cérébral,
entreseins,
Oral
69,
pénétratio,
fsodo,
hdanus,
coprolalie,
occasion,
... toujours aux ordres de Paul. Celui-ci s’approcha, lui pelota les fesses pendant quelques instants, puis avança sa main vers son entrejambe qui était déjà bien humide, il le sentait à travers le jean. Énervé, Paul déclara : — Alors mademoiselle ne peut pas s’empêcher de mouiller son petit string ? Franchement, je trouve que tout ça mérite une punition. Il ordonna, ferme. — Ôte ton jean, ne fais pas de manières. Enlève aussi ce haut. Et tes dessous, jette-moi ça par terre. Elle s’exécuta, le regard au sol. Fit glisser le pantalon délavé, se défit du reste. Paul observait. Il observait les seins lourds, juteux. Il observait le ventre plat, les hanches larges, le cul bombé. Il observait le regard de Marine rivé au sol. Il souriait, aussi. La taille marquée, il aimait ça. Les cuisses : trop pleines à son goût, mais l’ensemble avait tellement de charme. Il ne se souvenait plus déjà que son genre à lui, c’était les grandes élancées, les filles du nord aux yeux bleus. Il avait oublié. Il avait Marine, à portée de main, à portée de sourire, de bouche. Il avait Marine. Paul se souvint de cette phrase de Proust : «Et dire que j’ai passé la moitié de ma vie à espérer une femme qui n’était même pas mon genre. » Il pensa que certaines phrases d’À la recherche du temps perdu auraient pu être écrites pour lui. Il s’arrêta de penser. Il prit encore la tête de cette fille entre ses mains, il approcha sa bouche de sa nuque. Il embrassa le cou. Il aspira la peau. Marine fut secouée de longs ...
... frissons qu’elle ne réprima pas. Elle voulait. Tout. Les baisers, les frissons, le souffle dans le cou, le souffle tiède, l’air de Paul. Elle voulait. Le sexe, dans sa bouche, dans son ventre, entre les seins, dans son cul. Elle voulait. Le regard vert qui part qui part qui part et qui revient l’attraper. La douceur et la douleur elle les voulait. Paul lui signifia comment elle devait s’allonger, sur le ventre et en travers du lit, sa verge était dure, suprême. Paul lécha l’entre-fesses de Marine, il écarta, trouva l’orifice, descendit la langue, les lèvres qui trouvèrent d’autres lèvres. Le clitoris, exacerbé, demandeur, gorgé de désir, s’offrait. Il sortit sa langue de sa bouche jusqu’à ce qu’elle touche cet organe de plaisir, à en faire sursauter Marine qui était pourtant bien calme et soumise, là, allongée devant lui. Elle respirait fortement, et à travers le miroir fixé au mur, Paul pouvait observer son visage, elle se mordait les lèvres pour ne pas crier son plaisir, pendant que Paul excitait son petit clito avec sa langue. Il se mit ensuite devant sa chatte et la lécha goulûment, aspirant le fruit du plaisir qui coulait abondamment, il repassa ensuite au clito, puis à la chatte, et ainsi de suite jusqu’à ce que Marine crie grâce, et s’effondre dans un mouvement de jouissance profonde. Marine se releva ensuite, laissant osciller ses beaux seins devant les yeux de Paul qui n’en finissait plus de bander devant ce spectacle si beau, Marine nue devant lui, la perfection ...