Une rencontre opportune
Datte: 21/08/2021,
Catégories:
f,
fh,
hplusag,
confession,
Résumé : Dans le précédent épisode, je vous racontais comment j’ai découvert l’orgasme et mes premières relations avec les hommes. Depuis la fois où Robert m’a fait l’amour sur le canapé, je ne peux pas m’empêcher de me caresser. C’est psychotique. Le matin, le soir, parfois même entre midi. Je ne pense qu’à une chose, me faire baiser. Quand je sais que maman part travailler, je reste à la maison espérant que Robert passe me voir. Il n’est d’ailleurs jamais revenu. J’ai l’impression que depuis quelques temps il m’évite. Je ne sais pas pourquoi. J’ai bien essayé de lui faire comprendre que j’avais envie, mais rien. Il reste de marbre. J’ai même l’impression qu’il ne vient plus à la maison. Bizarre. Maman est très tendue ces derniers temps. Elle est d’une humeur de chien. Je ne sais pas ce qui se passe, mais ce n’est plus tenable, il faut vraiment que je change d’air. Mes études ne marchent pas fort alors j’ai trouvé un job de vendeuse de fringue dans une petite boutique. J’ai tendance à me laisser aller. J’ai envie de faire l’amour, mais je me retiens de sauter sur tout ce qui bouge en me caressant très souvent. Trop peut-être même. Magalie, une amie, fête ses 23 ans. J’en ai maintenant 21. Une soirée d’anniversaire comme je les aime. Je me sens en forme et j’ai très envie de me lâcher. Le rendez-vous est pris pour samedi soir. Au programme, restaurant, boîte de nuit et « after » chez elle et son copain, puisqu’elle vit en couple depuis presque 6 mois. Je me demande comment je ...
... vais m’habiller ce soir. Dois-je laisser libre court à mes instincts ? Pourquoi pas, une fois n’est pas coutume et ça fait un bon moment que je ne me suis pas habillée sexy. C’est vrai que depuis quelques temps je refreine mes ardeurs en essayant de me cacher derrières des fringues larges sans trop de forme. Je vous avoue que mon envie de sexe me fait peur. Bien décidée à faire effet, j’opte pour un chemisier blanc translucide, un soutien-gorge à balconnet en dentelle, une jupe mi-cuisse un brésilien et des talons hauts. J’ai hésité à mettre des bas, mais il fait assez chaud et je préfère encore sentir l’air sur mes jambes nues. Ma mère m’a payé une petite Clio pour me déplacer. Elle tient debout parce que c’est la mode mais me rend bien service. Il est 21h00, j’arrive chez Magalie et Cyril. Difficile de se garer, il y a déjà du monde, je suis en retard comme à mon habitude. Je trouve une place et me dirige à pied vers leur petite maison qu’ils ont pris en location. Je sonne. Magalie ouvre. — Ah c’est toi enfin. On a cru que tu ne viendrais pas. Tu es superbe.— Merci. J’ai fait un effort pour l’occasion.— Tu as bien fait, Pierre est là et il ne cesse de demander après toi.— Ah oui ? Bizarre.— Tu as dû lui taper dans l’œil. Pierre est un fils à papa. Vingt-huit ans, une belle situation, plutôt beau gosse, sans plus. Ce n’est pas qu’il m’attire réellement, mais il a du charme, il est généreux lorsqu’il aime et accessoirement, il pourrait être un bon parti. J’entre donc dans le ...