1. Une rencontre opportune


    Datte: 21/08/2021, Catégories: f, fh, hplusag, confession,

    ... Je venais juste de finir de me maquiller, j’attrape mon sac à main et descends les escaliers. Une fois en bas, il sort pour m’ouvrir la porte de la voiture. — Quelle galanterie. Tu es un amour.— Tu es ma princesse. Tu le sais bien. Tu es ravissante.— Merci. Il monte dans la voiture et je lui dépose un baiser sur le coin de la lèvre comme la veille au soir. Il sourit. Une fois arrivés chez Magalie et Cyril qui nous attendaient, nous discutons de choses et d’autres. Puis, en début d’après midi, Pierre me propose d’aller visiter son appartement. Il ne faut pas que je tombe dans le piège de la fille facile. Nous ramenons ma voiture chez moi puis je monte avec lui. Nous voilà en route. Il a une petite maison individuelle de côte de Metz Vallières, un coin très huppé. On se gare sur la monté de garage. Des pavillons tout autour. Un quartier résidentiel. Des maisons magnifiques. Je m’y sens déjà presque comme chez moi. — Viens, entrons. Je le suis sans rien dire puis il me fait visiter la maison. Au rez-de-chaussée, le salon salle à manger, puis la cuisine, très bien équipée, des toilettes, un cellier et un accès au garage, enfin un bureau et un cabinet de toilette. À l’étage, quatre chambres, une grande salle de bain avec douche et baignoire et un WC. — Tu vois, il y a de la place pour toi.— Oui, je vois ca. Tu as une maison superbe.— Merci.— C’est vrai. Tu as beaucoup de goût pour la décoration.— Tu sais ce qu’il manque ici ?— Non, mais tu vas me le dire.— Oui ! dit-il en riant. ...
    ... Il manque une femme comme toi et une ribambelle de petits gamins.— Qui sait, dis-je en lui souriant. Il a prit ça comme une invitation. Il me pousse légèrement contre la porte de sa chambre et dépose un baiser sur ma bouche. — Pierre.— Oui ?— Je dois t’avouer quelque chose. Je ne suis pas une salope.— Non je sais bien Deborah. Pourquoi dis-tu ca ?— Parce que je ne suis plus vierge et je sais que tu veux une fille bien. Alors… Pour seule réponse, il dépose un baiser sur mes lèvres tendrement. Je sens sa langue s’insinuer et entrer dans ma bouche. Je me sens déjà fondre comme un morceau de chocolat sur une plaque chauffante. Mes seins pointent instantanément. — Oh, Pierre ça fait si longtemps que je n’ai pas fait l’amour.— Je le sens Deborah. C’est pour ça que tu es une fille bien. Que tu ne sois pas vierge importe peu. On fait tous des erreurs dans la vie. Tu n’es pas une salope pour autant. Je veux que tu deviennes ma femme. Tout en disant ces mots, il passe une main sous la jupe de mon tailleur et la remonte. Il sent ma culotte qui me cache les fesses. Son regard est apparemment content de la découverte. — Je déteste les femmes qui portent des strings, je trouve que ca fait vulgaire. Ouf ! J’ai eu le nez fin. Puis il passe sa main sous la culotte pour me toucher les fesses. — Pierre, mon dieu non, pas comme ça. Pas ici.— Que tu as les fesses douces, pulpeuses. On dirait celles d’un bébé.— Pierre, tu es si doux avec moi. Si gentil.— Oui, je serais doux, attentionné, aimant. Je ...
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