L'île aux Amazones
Datte: 21/08/2021,
Catégories:
fh,
fffh,
plage,
bateau,
hsoumis,
Oral
69,
pénétratio,
attache,
hfff,
Au cours de mon périple en solitaire autour du monde, et après avoir essuyé une violente tempête sur ma vieille goélette, un ancien bateau de pêche à deux mâts que j’avais fait retaper et équiper des dernières technologies de navigation, je m’étais perdu à proximité de l’archipel des Bermudes, alors que mes instruments électroniques étaient hors service. Après des jours et des nuits de mer sans vent, épuisé et à court d’eau douce, je m’échouai dans une crique d’une petite île paradisiaque, et découvris un ruisseau auquel je m’abreuvai longuement avant de m’endormir épuisé. Je fus réveillé par les douces caresses d’une jeune femme aux longs cheveux bruns. Elle semblait fascinée par ma présence. Par ses caresses judicieuses et ses baisers langoureux auxquels je me laissais aller, je conclus qu’elle était expérimentée en matière d’hommes. Mais son attitude me laissait soupçonner qu’elle n’en avait pas vu depuis longtemps. Ce n’était pas dans mes habitudes de me laisser aller comme ça dans les bras d’une inconnue, mais la joie de ne plus être seul perdu au milieu de l’océan, et surtout ses yeux d’un bleu profond, ses délicieuses caresses et tout son être m’appelaient à chavirer dans ses bras et à m’abandonner à ses désirs qu’elle exprimait par tous les atouts de sa féminité. Nous nous sommes enlacés et embrassés longuement et tendrement, comme deux amants qui se retrouvent après une longue séparation. Nos gestes et nos caresses répondaient immédiatement aux attentes de l’autre, ...
... comme si nous nous connaissions déjà, ou qu’une lumière céleste nous eût enseigné ce qui allait faire le plus de bien à l’autre. Nos corps et nos esprits communiaient dans cet échange fiévreux et charnel qui ne semblait jamais finir. J’aurais tant voulu m’unir à elle, mais elle ne semblait pas prête. Pourtant sa connaissance et ses talents d’exploratrice du corps masculin étaient sans limites. Alors que je glissais une main aventurière entre ses cuisses, elle pivota autour de l’axe formé par mes doigts dénichant son bourgeon de plaisir, et vint gober littéralement mon membre de chair qui n’attendait que ça, sans oser l’imaginer… Mes lèvres remplacèrent ma main pour mieux épanouir les pétales de rose de son intimité. Nos corps ondulaient l’un dans l’autre, elle sur moi, moi sous elle, nos bouches et nos sexes scellés dans une danse sensuelle dont l’issue fut l’orgasme électrique qui nous traversa d’un commun cri de plaisir infini, comme un électrochoc qui irradiait nos âmes unies. Nous nous endormîmes l’un dans l’autre, l’un sur l’autre, dans cet aveuglement qui succède à l’extase. *** À mon réveil, j’étais attaché à un poteau en bois sculpté, et mon amoureuse de même à quelques pas en face de moi. Nous étions nus comme au premier jour, et entourés de jeunes femmes vêtues de pagnes qui nous tournaient autour comme d’un cadeau que l’on désire et dont on attend l’autorisation pour s’en emparer. Des femmes de tous âges vaquaient à leurs occupations, certaines à cheval et d’autres ...