1. L'île aux Amazones


    Datte: 21/08/2021, Catégories: fh, fffh, plage, bateau, hsoumis, Oral 69, pénétratio, attache, hfff,

    ... à dos d’âne, mais aucun représentant masculin ne semblait présent sur les lieux… Une idée folle me traversa l’esprit : ainsi, la légende des Amazones, peuple perdu sur une île au milieu de l’océan et descendantes des guerrières amazones de la mythologie grecque, était-elle peut-être fondée… Selon la légende, les Amazones tuaient leurs enfants mâles ou les rendaient aveugles ou boiteux, pour ensuite les utiliser comme serviteurs. Quant aux femmes, pour assurer la perpétuation de leur civilisation, elles s’unissaient une fois par an avec les hommes des peuplades voisines dont elles choisissaient les plus beaux. Il commençait à faire nuit, des feux s’allumaient un peu partout dans le village, et dans la pénombre une cérémonie semblait se préparer. Des jeunes filles défilaient devant moi, caressant mon torse nu, soupesant mes attributs génitaux au grand désarroi de ma partenaire qui criait sa rage dans une langue qui m’était inconnue. Les femmes plus mûres semblaient donner des ordres, et une douzaine de jeunes femmes vinrent s’aligner devant moi. L’une après l’autre, elles s’emparèrent de mon membre en souriant et, comme pour jouer, le sucèrent jusqu’à ce qu’il devînt suffisamment dur pour tenir tout seul à la verticale. Puis chacune attendait patiemment qu’il reprenne sa position initiale pour laisser la place à la suivante, qui faisait de même. Cela les amusait beaucoup, et se reproduisit vingt-quatre fois. Autant dire que j’étais en même temps au bord de la crise de ...
    ... nerfs et de l’épuisement. En face de moi, à quelques mètres, des femmes plus mûres et plus expérimentées s’intéressaient aux tétons et à l’entrecuisse de ma partenaire… elle se débattait, mais était visiblement comme moi esclave d’un plaisir imposé… Puis, à notre grand étonnement, on nous détacha. Des femmes firent monter ma partenaire sur une estrade, et l’obligèrent à s’installer au bord dans une position indécente, à quatre pattes. Elles enduisirent son sexe et la fente de ses fesses d’une crème huileuse et onctueuse comme pour la lubrifier. D’autres femmes s’occupèrent de mon membre jusqu’à ce qu’il atteignît le volume et la dureté voulue et m’approchèrent de la jeune femme qui m’avait caressé près du ruisseau. Je ne résistai pas à leur demande de m’accoupler avec elle et, bien que je me doutasse qu’elle était vierge, je m’insinuai dans sa vulve charnue et la pénétrai ainsi en me saisissant de ses hanches sous les cris et ovations de la foule réunie autour de nous. Elle ne se fit pas prier et s’ouvrit de son mieux pour m’accueillir, accompagnant mes gestes d’un mouvement des hanches qui visiblement approuvait notre union. C’est dans cette situation surréaliste que mon instinct animal reprit le dessus. Je la pris profondément, allant et venant méthodiquement pour m’enfoncer au plus profond de son ventre, et je sentais les spasmes de sa matrice qui semblait vouloir engloutir mon sexe ainsi que toute la liqueur qu’il pourrait lui fournir. Dans un râle de plaisir j’explosai ...