1. Ma femme et le Le Marchant de légumes (1)


    Datte: 21/08/2021, Catégories: Dans la zone rouge,

    ... « ah ! ya zeb e’likhchine ! eg’âratli souti ! zid nickni ! zid ! dakhlou lil claoui ! » (ah ! zob épais ! tu m’as défoncé la chatte ! continues à me baiser ! continues ! enfonces le jusqu’aux couilles !). Elle le provoquait et l’excitait. Je ne savais même pas que ma femme connaissait ces mots et ce langage en trente ans de mariage. Et l’homme, de répliquer « soutek s’khouna wa h’louwa ! ya habibti ! zebi h’bel 3aliha ! e’nikek 3achar marat ! » ( ta chatte est chaude et douce ! ma belle ! mon zob s’affole sur elle ! je peux te baiser dix fois ! ). Moi, aussi, dans nos premières années, on baisait chaque nuit et parfois, je la reprenais encore une fois, juste avant l’aube, lorsque son corps était chaud, doux et sentait bon la femme à cause de son abandon à Morphée. Il faut dire que la chatte de ma femme a toujours été très chaude et douce et que dès que mon zob s’y enfonçait, le désir m’enflammait et je faisais des efforts pour ne pas éjaculer trop vite. Je la baisais doucement, lentement et marquait des temps d’arrêts pour elle et pour moi, et lorsque je laissais le plaisir jaillir, c’était un moment d’enchantement commun. C’était, il y a des lustres et la chatte de ma femme a été sevrée sexuellement pendant trop longtemps. Maintenant, elle a trouvé un bon zob gros et résistant à la mesure de ses désirs. Sa douce chatte a été, en somme, dépucelée de nouveau et pouvait s’enivrer en toute liberté sexuelle avec ce jeune zob puissant et résistant. Et ça durait depuis quatre ...
    ... jours, pendant chaque longue après midi. Enfin, j’entendais l’homme hurler « hani jeit ! hani jeit ! n’faraq ! » (j’arrive ! j’arrive ! je vais juter !). Puis, deux gros cris de jouissance commune m’informèrent que l’homme éjaculait. Les couilles de l’homme déversaient leur sperme dans les entrailles de ma femme. Je voyais le corps de l’homme tendu et collé sur le ventre de ma femme et tête levée il hurlait comme un loup sa jouissance. Ensuite, après deux ou trois minutes de plaisir, ils se séparèrent. L’homme s’écroula à coté de ma femme dont les jambes et cuisses étaient largement ouvertes. Je voyais sa chatte qui brillait de sperme. Ce nectar blanc et visqueux pulsait de sa chatte qui continuait à tressaillir de plaisir. Lorsque nous faisions l’amour, ma femme et moi, nous étions certes nus, mais dès que j’éjaculais, elle me tendait un chiffon pour m’essuyer. Puis elle mettait un chiffon sur sa chatte et se couvrait totalement avant aller un peu plus tard se laver dans la salle de bain. Elle ne restait jamais longtemps totalement nue et encore moins les cuisses ouvertes avec du sperme qui suinte de sa chatte. Mais avec cet amant, elle se libère totalement. Elle se donne à fond et sa nudité doit lui procurer encore plus de plaisir et de jouissance. La preuve, elle se leva et se tournant vers son amant, elle empoigna son zob encore tendu et commença à le sucer et à le branler. C’était vraiment une autre femme que je viens de découvrir. On verra plus tard. Elle suça le zob un bon ...
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