Ma femme et le Le Marchant de légumes (1)
Datte: 21/08/2021,
Catégories:
Dans la zone rouge,
... coup, puis, s’assurant qu’il s’était bien durci. alors elle se redressa puis, sans pudeur, elle tourna le dos à son amant et mettant ses bras de part et d’autre, elle s’accroupit sur le torse velu de l’homme et commença à s’y frotter. Je voyais bien sa chatte qui brillait et laissait suinter du sperme blanc et entre ses cuisses le zob du jeune homme était bien raide. Ensuite, elle s’avança un peu et tenant le zob à la main, elle le pointa, non sur sa chatte mais plus bas sur son anus, et elle poussa. L’homme l’aida en se hissant par un coup de rein puissant et elle lacha le zob. Elle se pencha un peu en arrière et je distinguait parfaitement le zob enfoncé déjà à moitié, dans son anus, dans cul, dans sa terma. Impossible, cette femme nest pas ma femme ! Mais mes yeux ne me trompaient pas. Elle se sodomisait avec le gros zob du marchant. Je croyais que l’homme s’était rassasié de la chatte de ma femme mais je constate qu’il a réussi à la dépuceler du cul, à lui ouvrir et élargir l’anus. Elle commença à monter et descendre, à danser en douceur sur le zob de son amant et sur son visage c’étaient des grimaces de plaisir et non de douleur. Elle avait donc dépassé les phases de dépucelage et d’initiation pour jouir des frottements du zob dans ses entrailles. L’homme, allongé, la tenait par les hanches et elle se dandinait avec délectation pour bien frotter le zob la où avait le plus de plaisir dans sa terma. J’étais abasourdi, mais pas étonné. Après tout, après la totale liberté ...
... qu’elle a eu dans son habillement et que j’avais accepté sans rien dire, puis l’abandon de sa chatte et de soncorps à ce jeune marchant, la sodomie semble être le dernier de ses soucis, au contraire, elle en jouissait devant mes yeux. Je voyais ses fesses et sa chatte qui se frottaient sur les poils de l’homme. Le zob bien tendu, glissait avec facilité dans sa terma. Elle s’y enfonçait jusqu’à faire claquer les couilles sur ses cuisses largement ouvertes. L’homme, la tenait par les hanches et l’aidait à se faire plaisir au maximum. Elle bougeait en haut et en bas puis sur les cotés et gémissait en prononçant des mots que je distinguais à peine « ah ! ya zeb el’metine ! debbouz fi qari ! » ( ah !zeb dur ! gros bâton dans mon cul !). « h’nach idaqdaq fya ! rani n’sil ! rani n’sil mine teremti ! Haya habibi ! nickni lil claoui ! « « (‘est serpent qui me chatouille ! je coule ! je coule du cul ! vas y ô mon ami ! baises moi jusqu’aux couilles !). Et l’homme, excité, accéléra aussi ses mouvements de reins. Ses coups puissants soulevaient ma femme, puis l’abaissant avec violence sur son ventre, il enfonçait son zob dans la terma de ma femme jusqu’aux couilles. Ils baisaient et gémissaient librement, totalement prisonniers de leur plaisir sexuel. Moi-même j’ai été excité par les mots de ma femme. Et ayant assez vu et entendu, j’ai accéléré ma masturbation et rapidement j’ai éjaculé trois jets puissants de sperme sur le coté de la caravane. Puis épuisé physiquement et moralement, j’ai ...