L'orgueil & La gourmandise
Datte: 21/08/2021,
Catégories:
ffh,
couleurs,
gros(ses),
groscul,
complexe,
Oral
aliments,
glaçon,
humour,
... tabac, et dont les tétons pointaient fièrement. Contre la vitre de la cuisine vrombissait une abeille prise au piège. — Vous voulez que je vous rafraîchisse ? M’a-t-elle dit avec une lueur vicieuse dans le regard.— Avec des yeux comme ça, je veux bien tout ce que vous voulez. Lucienne a récupéré une dizaine de glaçons à la porte du frigo américain dans un grand verre à coca. D’un geste sûr, elle a dégrafé ma ceinture, et déboutonné mon jean qui est tombé à mes pieds. Son regard rivé au mien, elle a plongé sa main dans mon slip, avec un sourire énigmatique agrafé aux lèvres. Ses doigts se sont refermés sur mon phallus tendu à l’extrême, ont agrippé mes couilles ramollies par la chaleur. Enfin, accroupie devant moi, Lucienne a lentement abaissé mon slip tout au long de mes cuisses. — Hmmmm… Joliepetite queue, m’a-t-elle dit. Bien dure en tous cas. Je vais te faire durcir les couilles aussi, tu vas voirmon garçon ! Non seulement mon orgueil n’avait pas fini d’être mis à mal, mais joignant le geste à la parole, Lucienne a pris un glaçon dans le verre pour le plaquer sur mes testicules. J’ai serré les dents. La sensation était à la limite de la douleur, mais pas question de passer pour une chiffe molle. Je ne me suis pas dégonflé, dans tous les sens du terme et d’ailleurs, mes couilles se sont vite rétractées pour la plus grande joie de ma tortionnaire. — Je les préfère comme ça, me dit-elle. Comme des boules de glaces avec le banana split. D’ailleurs, c’est comme ça qu’elle va ...
... te déguster.— Elle ?— Allonge-toi sur la table, et laisse-toi faire ! Résumons la situation : J’étais nu comme un ver, allongé dans la pâte à tarte sur une table de cuisine, aux prises avec une Martiniquaise vicieuse qui accommodait mon sexe comme un banana split. Après avoir accueilli sur mon bas-ventre, aux côtés de mes testicules rétractés par le froid, une boule de glace au chocolat, et une autre à la vanille, Lucienne a posé sur ma verge tendue quelques tranches de banane, avant de la recouvrir d’une généreuse couche de crème chantilly, elle-même saupoudrée de noix de coco râpée. Visiblement satisfaite par son œuvre culinaire, elle n’est pas venue se loger entre mes cuisses pour satisfaire sa gourmandise comme je l’escomptais, mais elle a décroché le combiné de l’interphone : — Le goûter de Mademoiselle est prêt ! Il vous attend à la cuisine ! Je n’en croyais pas mes oreilles. Voilà donc les perversions auxquelles on se livrait chez ce pauvre Delavigne ! À peine avais-je eu le temps de réaliser cela, que j’entendis le martèlement d’une lourde course dans le couloir, dont le bruit sourd me fit penser à la charge d’un pachyderme. C’était Mademoiselle. Christelle n’avait que dix-huit ans, mais avec cent trente kilos au moins – son poids avait dépassé les graduations de la balance, échappant définitivement à tout contrôle – il était difficile de lui donner un âge. Son visage fin et gracieux épaississait à partir des joues qui se muaient en bajoues à l’orée du cou empâté. Et ...