Dentelle vert espoir
Datte: 22/08/2021,
Catégories:
fh,
amour,
intermast,
entreseins,
Oral
nopéné,
... D’accord. D’accord, mais tu gardes ta culotte. Voilà. Ce sera le rempart qui gardera ta vertu, dit-il en riant. Il rit, mais il me regarde d’un air prudent et n’ose pas bouger. Il se comporte comme si j’étais un animal farouche, et c’est peut-être ce que je suis au fond, un petit animal blessé, terrifié. Mais je suis aussi une fille qui a souvent rêvé de sa bouche sur mon corps ces derniers mois, et la plupart du temps, avec ma main entre mes cuisses. Je veux le rassurer, ou peut-être me rassurer, alors je prends un air mi-innocent mi-bravache avant de rétorquer. — Ma culotte, mais ce n’est pas une culotte que je porte ! Ce disant, je pivote à genoux sur le canapé en relevant artistiquement un pan de ma robe noire, une de ces robes que j’adore parce qu’elle me fait me sentir toute nue en étant vêtue. Je prends la pose, le regardant par-dessus mon épaule, une fesse dénudée, juste soulignée par la dentelle verte de mon tanga préféré. Je guette sa réaction, elle ne se fait pas attendre, il a l’air à l’étroit dans son pantalon, le pauvre. — Léger comme rempart… Mais ça devrait suffire. Il m’attire à ses côtés et se penche pour m’embrasser. Ses lèvres se posent sur les miennes tandis que sa main glisse de mon épaule vers ma poitrine. La caresse s’arrête aussi sec. — Tu trembles comme une feuille. Il fronce les sourcils en me regardant. — Ce n’est rien, ça va passer, je suis désolée. J’essaie de reprendre le contrôle, je lui offre ma bouche pour qu’il reprenne son baiser. — Non, ...
... attends. Me parler a été difficile pour toi, tu as besoin de te remettre. Il n’y a rien de pressé. Nous avons toute la soirée devant nous et je propose qu’on la commence par un film. J’hésite à protester, mais il faut que je me rende à l’évidence, il a raison. — Tu veux boire quelque chose ?— Non, mais si tu as du chocolat… Un quart d’heure plus tard, nous sommes installés sur le canapé, une quantité respectable de sucreries étalées sur la table basse. Pour le film, nous avons choisi un classique,Die Hard. Rien de tel que du sucre et Bruce Willis pour me remonter le moral. Il s’est assis juste à côté de moi, laissant entre nous le fossé entre les coussins, comme l’épée entre Lancelot et Guenièvre. Il me regarde tandis que je tente avec plus ou moins de succès de ne pas m’empiffrer de chocolat. — Tu es trop mignonne quand tu grignotes comme ça, on dirait un petit écureuil. Un petit écureuil qui aurait peur que je lui vole sa provision de noisettes. Le temps que Hans Gruber fasse son apparition, je me sens déjà mieux. Je franchis la limite entre les coussins et m’approche, assez près pour coller ma cuisse contre la sienne. Son pantalon est un peu rugueux contre ma jambe nue, mais je savoure la sensation. Je suis la progression de McLane avec plaisir, j’ai vu le film mille fois et lui aussi, mais je prends un plaisir immense à le commenter avec lui. Les coups de feu fusent, il prend ma main. Je serre ses doigts entre les miens. Je suis encore secouée, les larmes ne sont pas très ...