1. Dentelle vert espoir


    Datte: 22/08/2021, Catégories: fh, amour, intermast, entreseins, Oral nopéné,

    ... loin, mais en parlant de tout et de rien avec lui, en tenant sa main, je me souviens à quel point je me sens bien avec lui. Ce n’est pas une aventure sans lendemain, j’ai partagé tellement de moments avec lui et le savoir dans ma vie m’a soutenue ces derniers temps. Je l’appelle chaque fois que je me sens mal. Ce n’est pas une menace, c’est mon soutien. J’ai confiance en lui. Je serre plus fort sa main. Il est là pour moi. — Embrasse-moi. Notre baiser est long et doux, presque hésitant. Ses lèvres frôlent tout juste les miennes et il faut que je me presse contre lui pour qu’il y mette un peu du sien. Nos langues se rencontrent timidement entre nos lèvres entrouvertes, un contact léger, humide, intime. Je prolonge le baiser au maximum. Je regrette juste de ne pas sentir ses mains sur moi. Quand il finit par s’écarter, je place sa main sur ma cuisse à moitié découverte par ma robe remontée un peu plus haut qu’elle ne devrait. Je garde ma main sur la sienne, appuyant un peu sur ses phalanges, jouant de ses doigts sur ma peau. Je ne redescends pas ma robe, mes vêtements n’en ont toujours fait qu’à leur tête de toute manière. Ils ne m’aiment pas, essaient toujours de se faire la malle. La preuve, ma manche tente de s’enfuir, glisse peu à peu le long de mon épaule tandis que les méchants du film tombent les uns après les autres. Je ne la rattrape pas non plus. Je profite de l’air du soir qui entre par la fenêtre et caresse ma peau nue, et sa main… J’ai lâché sa main il y a un ...
    ... moment, mais elle reste là, posée sur ma cuisse, chaude dans l’air qui se rafraîchit. De temps à autre son pouce me prodigue une petite caresse, presque machinale sur le dessus de la cuisse. Elle a remonté, sa main, presque imperceptiblement au départ, mais de plus en plus audacieusement. Sa paume s’approche de mon ventre, et ses doigts qui frôlent l’intérieur de ma cuisse me font frémir. La caresse est précise maintenant, elle n’a plus rien de machinal. Je retiens un peu mon souffle, j’attends de voir où il veut aller, mais sa main ne bouge plus, elle reste là et il caresse ma peau du bout des doigts. Alors je triche. Je me blottis un peu plus près de lui et sa main glisse, un peu plus haut, un peu plus à l’intérieur de ma cuisse. Il me laisse faire, un sourire au coin des lèvres, mais à peine suis-je installée qu’il enlève son bras. Je retiens un grognement de protestation. Heureusement, c’est pour le passer autour de moi. Sa main se pose juste sous mon bras, tandis que sa droite vient remplacer l’autre sur ma cuisse. Mais il ne se contente plus de la laisser posée, il promène ses doigts, il dessine. J’ai tout oublié du film, je savoure la sensation de sécurité de son bras autour de moi, de son corps contre le mien. Mais j’aimerais que ses caresses deviennent un peu plus précises, et surtout plus localisées. Sa main sur mon flanc flâne, et je suis tellement sensible à cet endroit, à la limite des seins, j’ai envie de prendre sa main, de la coller dessus, pour qu’il arrête de ...
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