Vacances à la Grande-Canarie (7)
Datte: 22/08/2021,
Catégories:
Partouze / Groupe
Séjour à la Grande Canarie - Dernier jour Une nouvelle aube se lève sur la Grande Canarie mais aussi sur notre dernier jour sur place, puisque c’est ce soir que nous repartons. Après une nuit très animée, notre amie Elodie est retournée dans sa chambre afin qu’Aline et moi puissions tranquillement préparer nos bagages, histoire de pouvoir encore profiter du reste de la journée en lézardant à la plage. Notre nuit a été courte mais nos jouissances intenses ; nos échanges aussi. Pendant notre repos d’après plaisir ; dans ces instants ou l’on est étendu l’un contre l’autre, les membres emmêlés, les corps respirant au même rythme, ou l’on ressent si intensément la présence de l’autre, ou les confidences sont doucement distillées ; notre nouvelle amie nous a donné les derniers détails de son parcours. Surtout elle s’est étendue sur sa découverte du plaisir avec nous — De tous les plaisirs ? — Oui, de tous ; j’ai adoré ce que vous m’avez fait, chacun de vos gestes, de vos mots m’a aidé à passer les barrières. Je vous aime tous deux. Cet aveu simple et pourtant si lourd de signification a été un moment très fort de la nuit. Tous les détails réglés, nos bagages dans sa chambre, nous avons à nouveau emprunté le chemin des dunes, savourant ce mini-désert de sable, ces monticules sculptés par le vent ; et puis au-delà, l’océan avec ses couleurs si changeantes, le souffle du large aux senteurs revigorantes. Une fois sur la plage naturiste et nos maillots enlevés, nous nous asseyons, en ...
... retrait des premiers rangs et regardons les vagues venues de si loin qui s’échouent inlassablement sur le rivage. Je dois avouer que la vision de mes compagnes titille ma fibre artistique et me donne envie de composer une ode à leur beauté. Oh oui, elles sont belles, sensuelles, leur peau désormais bien bronzée, leurs sourires quand elles se tournent vers moi, ces regards entendus qui en disent long sur nos relations partagées. Je retiens à peine un rire et quand elles me demandent le pourquoi, je leur indique m’être souvenu que les Canaries étaient surnommées les " îles fortunées" il y a plusieurs centaines d’années. — Et ? Font-elles quasiment en cœur — Hé ben, moi je suis tout simplement le plus fortuné de tous, puisque vous êtes avec moi. (Dans les films c’est là que se placent les trémolos de piano mais ici, c’est simplement un baiser langoureux et doux avec chacune) Nous sommes là, allongés, détendus, savourant le moment et vraiment je me sens béni des dieux. En parlant des Dieux, nous plongeons dans le royaume de Poséidon. La piscine de l’hôtel était plus chaude, mais la sensation de se baigner nus dans l’Atlantique est purement et simplement un régal. On se pourchasse, un peu, on chahute et évidemment je sens régulièrement des mains m’empoigner le sexe et le caresser furtivement. Ceci dit, je frôle des seins, caresse des petites fesses de la même façon alors je ne peux me plaindre ; et n’en ai d’ailleurs aucune envie ! Le résultat est évidemment le même que les autres ...