1. Vacances à la Grande-Canarie (7)


    Datte: 22/08/2021, Catégories: Partouze / Groupe

    ... de sensualité... Je me joins à elle, et l’on s’embrasse tous les trois, nos langues se cherchent, se touchent, un peu l’une puis un peu l’autre ; les mains pendant ce temps parcourent les corps et c’est bon. Je caresse, caresse encore ; comment pourrais-je ne pas avoir envie de toucher de si belles formes, d’autant plus que je connais la personnalité qui s’y trouve. Au bout d’un long moment de tendresse et en même temps d’empoignade sauvage, je me recule un peu et leur dit : — Je ne tiens plus, vous m’avez trop chauffé, je veux vous prendre. Elles se tournent vers moi, le souffle court, la poitrine qui se soulève rapidement mettant leurs seins encore plus en valeur si c’était possible. Elodie a la langue encore sortie, le regard déjà un peu dans le vague et ma femme, les lèvres gonflées réponds : - J’attends que ça. Je les fais se mettre à quatre pattes l’une à côté de l’autre, pensant à leur confort afin qu’elles puissent encore s’embrasser (oh l’excuse bidon !) ce qui me permet, pur hasard évidemment de pouvoir contempler leurs fesses tendues vers moi. Chacune a déjà l’entrecuisse luisant, preuve de leur excitation. Ma preuve à moi s’approche de la jolie petite chatte de ma femme et je m’introduis rapidement en elle tant elle est humide, elle lance ses fesses en arrière et, désormais entièrement absorbé dans sa chaleur je profite de ce moment si intime ou l’on se dit qu’on est rentrés au port, où l’on sait que c’est là où l’on doit être. J’entame ensuite des va et viens ...
    ... réguliers et profonds qui me procurent des sensations mmmmh... terribles. Le corps de ma femme vibre sous moi et c’est absolument délicieux. Je les vois s’embrasser, leurs lèvres se cherchent se touchent, c’est beau. Je me retire, lui faisant pousser un petit soupir de frustration et je m’enfonce dans la jolie fente d’Elodie qui est littéralement trempée de mouille ; ce qui lui fait pousser un soupir de contentement, écho positif du premier. Je place mes mains sur ses hanches et là aussi je la pénètre profondément, son vagin est plus étroit mais son humidité active la pénétration. C’est différent mais tout aussi agréablement bon... J’alterne deux fois de partenaire et puis un sixième sens me fait lever les yeux et me permet de voir le même couple de voyeurs qu’avant qui nous observe. Cette fois c’est lui qui s’occupe d’elle. D’une main il lui malaxe (je ne peux pas dire autrement) les seins et de l’autre il la masturbe fortement. Elle sursaute un peu à chaque fois mais malgré le traitement un peu violent semble apprécié à en juger par ses soupirs et son expression. Mes compagnes, elles aussi ont noté la présence du couple et s’embrassent à perdre haleine, stoppant parfois face aux sensations que je leur procure quand je change de rythme ou de partenaire. Ces soupirs sont comme une symphonie à mes oreilles et accentuent la sensualité de notre union. Nos actions, les sensations, les senteurs, le fait d’être observé, tout rajoute à l’excitation. Je commence à perdre doucement le ...
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