1. Première expérience à trois


    Datte: 22/08/2021, Catégories: ff, ffh, fbi, inconnu, uniforme, hépilé, fépilée, vacances, bain, campagne, Voyeur / Exhib / Nudisme intermast, Oral 69, fdanus, uro, confession,

    ... de poils blonds qui s’épanouit entre mes jambes me paraît incongrue. Il m’est arrivé une fois de me raser le sexe pour faire plaisir à un amant insistant. Mais, célibataire depuis plusieurs mois, je n’avais pas jugé utile d’en réitérer la pratique, somme toute assez douloureuse. N’ayant pas les moyens, ni l’envie de fréquenter les salons spécialisés, je me contentais de me raser avec un rasoir jetable ce qui me laissait, pendant plusieurs heures une sensation de brûlure malgré la crème Nivea dont je me tartinais. Une fois la première minute d’acclimatement passée, l’écrin transparent de l’eau qui se referme sur moi est un pur délice. Une véritable sensation d’Éden retrouvé. Malgré le scrupule qui me taraude, je ne me suis jamais sentie aussi heureuse. Une profonde impression de liberté m’envahit à la limite de la suffocation. Je m’éloigne un peu du bord en nageant lorsque Jérôme sort du champ. Avec le même naturel que sa femme, il baisse, comme s’il était seul au monde, son maillot de bain. Il reprend son souffle après sa course, debout, les pieds dans l’eau, semblant lui aussi, profiter de ce moment de grâce. Sa main gauche joue négligemment avec son sexe qui semble encore plus gros que tout à l’heure. — Attention, les naïades, le faune arrive, il va y avoir des vagues. Ayant pris quelques pas d’élan, il plonge dans l’eau. Pendant quelques secondes, il disparaît et c’est un cri d’Annette qui signale sa réapparition. Attirée vers le fond, elle se débat en riant. — Arrête ...
    ... Jérôme, c’est salaud ! T’es dégueu ! Jérôme jaillit dans une gerbe d’eau comme un lutin hors de sa boîte. Je les regarde se poursuivre, se lutiner, rire au milieu des éclaboussures argentées. Comme ils sont beaux ! La vie, l’amour paraissent si simples. Ils viennent de s’enlacer et leurs bouches avides se rejoignent dans un baiser avide. Je continue à nager en m’éloignant un peu pour ne pas les gêner. Les yeux fermés, ils sont trop absorbés à se dévorer pour se rappeler ma présence. Les lèvres s’écrasent avec voracité puis se décollent. Leurs langues se caressent, se sucent, s’aspirent. Ils doivent avoir pied et marchent vers la rive sur laquelle ils se hissent avec une souplesse féline. À peine montée sur la berge, Annette se met à crier l’air effrayé. — Oh là, là ! Rachel, viens voir vite ! Elle a froncé les sourcils, l’air anxieux. — Vite, vite, viens voir ! Supposant un événement extraordinaire, je pique la tête dans l’eau et crawle jusqu’à la rive. Quand je pose les mains sur le bord moussu, ils sont tous deux allongés sur une serviette de bain. Annette éclate de rire. — Regarde, l’eau est tellement fraîche qu’elle a rétréci notre petit trésor. Elle a saisi le sexe de son mari entre ses doigts comme s’il s’agissait d’un oison tombé du nid. Il semble d’évidence avoir perdu de sa superbe sans que cela ne m’étonne. La courte, mais intense aventure avec un amant maître-nageur avait appris à la petite fille naïve que j’étais alors, que le sexe des garçons, quelles que soient ...
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