Première expérience à trois
Datte: 22/08/2021,
Catégories:
ff,
ffh,
fbi,
inconnu,
uniforme,
hépilé,
fépilée,
vacances,
bain,
campagne,
Voyeur / Exhib / Nudisme
intermast,
Oral
69,
fdanus,
uro,
confession,
... hantise mon premier réflexe est de me demander si je suis aussi propre que je devrais l’être en une telle situation. J’ai toujours été obsédée par la propreté de mon intimité et l’image qui me vient machinalement à l’esprit est ce réflexe bien féminin de ma culotte portée à mon nez chaque soir avant de la jeter dans le panier de linge sale. Tous les paramètres se mêlent : la chaleur de la journée, l’émotion, l’humidité fraîche qui s’installe entre mes cuisses, l’excitation de cette situation inattendue, et le petit pipi lâché dans l’eau de la rivière… Plutôt que de le redoubler, la respiration de Jérôme coulant entre mes cuisses, chasse le sentiment de honte qui, de manière surnaturelle, me livre pieds et mains liées au délire sensuel qui me submerge. La pression des mains d’Annette attire avec une exquise fermeté mon visage vers le sien. Je sais ce qui va se passer et me laisse conduire vers ce premier contact avec la bouche d’une femme. J’ai fermé les yeux. Elle vient de souffler mon front et écarte la mèche blonde qui a coulé sur mes joues. L’haleine fraîche d’Annette se rapproche et la première caresse qui se pose sur mes lèvres est celle de la pointe de sa langue. Malgré la douceur de ce premier baiser, je ne peux contenir un mouvement de surprise. Hypnotisée par la douceur des cajoleries de ma partenaire dont les doigts, les lèvres et la langue butinent mon visage, mon cou et mes épaules, j’avais presque oublié ma position et le spectacle que j’expose à son mari. Les ...
... frissons que provoque le souffle de son haleine sur ma toison et les contractions qui agitent mon ventre et mes cuisses, sont les prémices d’une éruption qui monte inexorablement dans mes reins. Lorsque la pointe de sa langue, écartant les poils blonds, se pose sur mon clitoris avec une précision diabolique, je ne peux réprimer un cri libérateur qui monte du plus profond de mes entrailles. Annette a guidé ma tête jusqu’à son épaule et caresse mes cheveux tandis que la bouche serpentine de son mari fouaille mon sexe avec application. Sa langue remonte en suivant le raphé de périnée puis après avoir écarté mes lèvres que j’imagine poisseuses avant de se vriller sur mon clitoris. Son front a pris appui sur mes fesses écartelées sous la pression de ses doigts et son nez frôle l’anneau vierge de mon anus. Un éclair de conscience me traverse l’esprit. Je ne peux chasser l’image de mon corps tendu, de mes cuisses ouvertes, de mes fesses écartées, du buisson blond comme les blés au milieu duquel s’épanouissent les pétales carmin et luisants de mon sexe. Plutôt que de freiner le délire bouillonnant qui m’envahit, l’évocation en gros plan de cette scène redouble la folie qui me gagne. Annette, toujours empalée devant moi, a commencé un lent et imperceptible mouvement de balancement. J’imagine le pieu de chair profondément fiché au plus profond de ses entrailles. Elle a repris mon visage entre ses mains et me force à me redresser. Ses yeux se sont rivés aux miens. Ses lèvres entrouvertes ...