1. Première expérience à trois


    Datte: 22/08/2021, Catégories: ff, ffh, fbi, inconnu, uniforme, hépilé, fépilée, vacances, bain, campagne, Voyeur / Exhib / Nudisme intermast, Oral 69, fdanus, uro, confession,

    ... tourne vers moi. — Eh bien, miss, à toi, nous devons être à égalité. Enlève ta robe. On est entre nous, on ne va pas se manger ! Les mains posées sur l’ourlet de ma robe je bredouille. — Oui, mais je n’ai pas de soutien-gorge.— Ah c’est ça ! Ne t’inquiète pas, je vais enlever le mien comme ça il n’y aura pas de jaloux, nous serons tous torse nu. Annette passe ses mains derrière son dos et dégrafe le tissu blanc qui rejoint la robe. Impossible de ne pas suivre le mouvement. L’euphorie de l’alcool et le badinage ambiant aidant, je remonte moi aussi ma robe, non sans une petite gêne et, après une imperceptible petite pause à hauteur de la taille, je l’enlève complètement. Je réprime l’envie de cacher ma poitrine avec mes bras croisés et me rassois, un peu mal à l’aise, en regroupant mes jambes serrées sous mes fesses. — Bravo les filles ! Vous êtes magnifiques. On diraitle Déjeuner sur l’herbe de Manet. Annette avec l’assurance spontanée d’une habituée de ce genre de situation reprend la conversation comme si de rien n’était. Je l’observe du coin de l’œil. Elle est à l’opposé de ce que je crois être. Assez menue, aussi brune que je suis blonde, les cheveux courts. Le corps androgyne que j’avais deviné plus tôt sous la transparence de la robe est naturellement hâlé comme si elle l’offrait toute l’année aux rayons du soleil. Un verre à la main elle a glissé sa tête sur les cuisses de son mari qui a posé avec nonchalance ses mains sur la poitrine de sa femme. Les seins, menus, ...
    ... semblent fermes et n’ont pas bougé malgré la position allongée, pointant fièrement vers le ciel. Les aréoles brunes et les mamelons se sont congestionnés sous l’effet des caresses ou de la brise. La culotte blanche tranche sur la peau mate et met en évidence son ventre plat et la quasi-absence de hanches. Image troublante, même si la rotondité du pubis qui bombe légèrement le tissu n’est pas assez marquée pour être confondue avec celle du sexe d’un garçon. Elle est la réplique parfaite, moins les hanches, de Cécile, interprétée par Jean Seberg dansBonjour Tristesse d’Otto Preminger. Elle a posé sa main sur son ventre et caresse doucement la peau tendre à la limite de l’élastique de la culotte. Sous effet du copieux pique-nique et surtout du Listel, nous sombrons dans une douce indolence. Je ne peux quitter mes yeux du corps d’Annette. Nous nous sommes tus après les effusions de plaisanterie. En levant les yeux, je découvre ceux de Jérôme fixés sur ma poitrine. Il ne détourne pas les yeux. Il est conscient que je le regarde et ses mains, posées sur les seins de sa femme, se font plus lascives. C’est comme s’il caressait les miens par procuration et, sous l’effet du contact fantasmé, je sens malgré moi mes mamelons durcir. — Allez ! Debout ! On va s’endormir à ce rythme. Annette s’est relevée d’un bond, rompant le charme. — Il y a une petite rivière en bas. On va se baigner, ça va nous rafraîchir. Rachel, viens avec moi, on descend pendant que Jérôme va chercher des serviettes. ...
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