L'université : de la soumission à la consécration (15)
Datte: 22/08/2021,
Catégories:
Voyeur / Exhib / Nudisme
... très vite. En entrant dans le bureau, je cherche du regard un endroit intéressant où il pourrait se dissimuler, mais aucun ne me saute aux yeux. Mince, comme elles me manquent les grandes armoires que nous avons dans nos chambres ! Heureusement, il ne me faut pas une longue exploration pour trouver la solution : — Cache-toi sous le bureau ! lui ordonné-je. — Pourquoi ? me demande-t-il sans bouger d’un poil. Je fronce les sourcils. — Tu tiens vraiment à redevenir comme avant ? Là encore, il préfère s’exécuter sans même me répondre. Bien que je ne sois pas du tout porté au sadisme ou à l’humiliation des autres, je dois bien reconnaître que me venger de cette fripouille de Paul me comble de joie. J’ai bien conscience qu’il me sert d’exutoire, presque de bouc émissaire, là où Nicolas par exemple s’en sort très bien, mais peu importe. Que ce soit justice ou vengeance, ça me plait. Nous n’avons que quelques minutes à attendre avant que Madame la sous-directrice ne rapplique dans son bureau, et comme prévu elle ne semble pas du tout surprise de me voir. — Jules m’a dit que je te trouverais ici, me lance-t-elle en entrant. Je l’observe un instant en souriant, jouissant par avance de ma revanche. Par ailleurs, je suis content que Jules participe aussi à mon ascension. J’avais toujours un peu peur qu’il finisse par s’offusquer de ma proximité avec Sonia. — Tu vas commencer par me vouvoyer, rétorqué-je enfin. Tu sais à qui tu t’adresses ? Elle tressaillit, signe que ma remontrance a ...
... fait mouche. Elle a probablement été briefée par Jules, elle sait donc très bien à qui elle s’adresse. Baisser ainsi pavillon devant un jeune qui pourrait être son fils et qu’elle considérait jusqu’ici comme son esclave sexuel doit lui coûter, mais elle n’ose pas s’opposer à la Fraternité. — Pardon Monsieur, lâche-t-elle finalement d’une toute petite voix. — Comment ? Je tends ostensiblement l’oreille, sans chercher à dissimuler mon plaisir à asseoir ainsi ma domination. — Je m’excuse Monsieur, répète-t-elle plus fort. — J’aime mieux ça ! Maintenant viens me sucer la bite. L’ordre a le mérite d’être clair, et même si l’objectif est plus de l’humilier devant son fils qu’autre chose, je dois bien reconnaître qu’une petite fellation de la part de la sous-directrice de l’université risque fort d’être tout à fait délectable. Là encore elle hésite une seconde, évaluant sans doute ses chances de me résister avec succès. Elle sait qu’elle aurait bien plus à y perdre qu’à y gagner, profitant largement elle-même des plaisirs qu’offre la Fraternité. Si elle ne joue pas le jeu, fini les petits étudiants tout frais mis à sa disposition ! Le jeu n’en vaut pas la chandelle, nous le savons tous les deux. Elle obéit donc. Je la vois s’approcher de moi, presque timidement, et j’avoue qu’imaginer la tête que doit faire son fils qui nous épie me met plus en joie encore que la perspective de la magnifique partie de sexe qui m’attend. Que peut-il bien ressentir, en voyant sa mère s’abaisser ainsi ...