1. L'université : de la soumission à la consécration (15)


    Datte: 22/08/2021, Catégories: Voyeur / Exhib / Nudisme

    Je me contente d’observer pendant les deux jours qui suivent, et ce que je vois me ravit : la douce et mignonne petite Émilie, la copine de Paul, parvient de moins en moins à dissimuler sa poitrine, qui enfle dans des décolletés qui n’ont pas été prévus pour ce gabarit, et elle répond de plus en plus à mes regards insistants, là où elle se contentait au départ de baisser les yeux. Quant à Paul, puisqu’il n’est manifestement plus en état de s’occuper de Sonia comme il le lui avait promis, c’est elle qui le provoque en permanence afin de lui rappeler qu’elle est là et pour tenter de l’émoustiller. Sauf qu’il a beau être excité comme jamais… il ne peut plus rien faire ! Comme Sonia me l’a fait remarquer, il s’en est sans doute rendu compte en voulant coucher avec sa copine sans y arriver. J’avoue que cette idée m’enchante au plus haut point ! Le matin du jeudi, je me décide donc à passer à l’offensive en allant parler à Émilie, surtout que la prévenante Sonia a constitué un petit « dossier » sur Paul, qui me sera bien utile pour me la mettre dans la poche. J’attends qu’elle soit seule – c’est-à-dire seulement entourée de quelques amies – pour me lancer. Nos regards se croisent immédiatement : puisqu’elle est presque une succube, nous nous « attirons » mutuellement, sans qu’elle soit en mesure de déterminer la nature de cette attirance. Je m’approche d’elle d’un pas conquérant, bien qu’en réalité je ne sois pas si sûr de moi que cela, et je joue jusqu’au bout l’innocence candide ...
    ... : — Excusez-moi, laquelle d’entre vous est Émilie ? Elles se regardent en gloussant comme des… filles tandis que j’attends patiemment. — C’est moi, répond enfin l’intéressée. — Je peux te parler ? Elle m’observe avec un intérêt non feint, tandis que ses copines au contraire me regardent bizarrement. Elles doivent trouver cette entrée en matière un peu brutale, voire suspecte. Peu importe, ce ne sont pas elles qui m’intéressent. — Pas de problème, me répond enfin Émilie avec un sourire timide. Elle se tourne alors vers ses amies et leur propose de les rejoindre en cours, ce qu’elles acceptent. — Qu’y a-t-il ? me demande-t-elle alors. Je suis un peu gêné par ce que je m’apprête à lui révéler, mais cela sert mes desseins puisque je devrais avoir l’air contrit. — On peut aller dans un endroit plus tranquille ? La demande est innocente en réalité, mais elle n’en fronce pas moins les sourcils. — Je voudrais juste te parler de quelque chose… d’un peu délicat. Elle accepte malgré sa suspicion et me suit jusqu’à une salle de classe non loin. Heureusement, il y en a presque toujours qui sont vides. Je referme prudemment la porte derrière nous et pose mon « dossier » sur une table. — Voilà, je viens de la part d’une amie commune qui a découvert quelque chose te concernant, mais elle avait peur de t’en parler directement alors elle m’a envoyé. Émilie fronce les sourcils. Je vois bien qu’elle a beaucoup de mal à croire ce début d’histoire, ce qui commence mal. Je l’imagine déjà chercher ...
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