1. Amant d'un soir (2)


    Datte: 23/08/2021, Catégories: Divers,

    ... bouches restent soudées, jusqu’à ce que les doigts qui me touchent le cul se faufilent sur le devant de mon ventre. C’est fait sans fioritures, sans aucune douceur particulière, sans préambule. Je n’arrive plus à contenir cette foule de sentiments contradictoires qui m’assaillent. Je sais que ce que je fais n’est pas correct, mais d’un autre côté, j’ai cette envie que les doigts qui me fouillent me ramènent sans cesse à l’esprit. Et quand la bouche me quitte pour venir fourrager dans mon chemisier, j’ai une réaction de colère. Dirigée contre moi, lui n’est qu’un homme à qui j’ai ouvert une porte et qui n’a fait que franchir le seuil ainsi libéré. — Non ! Je ne veux pas ! Non ce n’est pas bien ! Vis-à-vis de votre amie et de mon mari ! — Allez, juste une fois ! S’il vous plaît ; juste un peu ! — Arrêtez Fréderic ! C’est non, je ne peux pas faire cela ! — Bon ! Ce n’est pas dans mes habitudes de violer les femmes ! Un non est un non, je respecte votre choix ! J’ai aimé vos baisers et je suis certain que vous avez vous aussi apprécié ces pâlots de feu ! J’ai envie de vous et je vous aime depuis que je vous ai vue ! Mais c’est toujours à vous de décider de ce qu’il doit y avoir entre nous ! Pour mon travail ? Vous voulez que je vous donne ma démission ? — Je ne veux pas que vous quittiez votre emploi, nous avons trop besoin de vous ici ! Ce n’était qu’un égarement passager de ma part, je vous prie de bien vouloir m’en excuser ! Ça ne se reproduira plus. — J’ai contribué ...
    ... également à ce passage à vide et moi au moins je reconnais que j’y ai pris un certain plaisir ! — Mais Fréderic, même si, vous le savez bien, j’ai adoré vos baisers et… le reste ! Euh ! Je ne saurais vous encourager sur cette pente alors que je suis une femme mariée et par respect pour Michel… ! — oooOOooo — Je le regarde s’éloigner et mon ventre est en feu. Je me dis que je suis une conne, que j’aurais peut-être dû… ! Allez ! Pas de vain regret, rien ne sert de ressasser ce qui vient de se passer. Je remets un peu d’ordre dans mes vêtements et dans ma tête. Je rentre à la maison et tu es là. J’ai toujours au creux des reins cette envie de sexe. Je te vois là avec ton petit sourire ! Tu n’as pas le temps de dire un mot que déjà je t’ai poussé contre la porte d’entrée que je viens de refermer. C’est moi qui dirige les manœuvres. Je me colle à toi comme une sangsue et je frotte tout ce qui peut l’être contre ce corps qui me répond. Si tu t’en trouves surpris, tu n’en laisses rien paraître. Ce n’est pas la tendresse des grands soirs, juste l’envie brute, le besoin d’une bonne baise brutale, pour calmer mes convoitises qui me tenaillent le bas du ventre. Je t’arrache, plus que je ne le retire ton tee-shirt, et le jette dans un coin de la cuisine. Je pose mes lèvres sur ton torse poilu et elles descendent sur tes seins. J’en découvre les petits boutons violets. Tu ne bronches absolument pas quand je les mordille tout en ouvrant ta ceinture et déboutonnant ton pantalon. Tu as l’air ...
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