1. End of the world ou la fin de la solitude


    Datte: 23/08/2021, Catégories: fh, hplusag, inconnu, froid, pénétratio, sf,

    ... filles sur MWT, mais c’est exceptionnel et toujours hygiénique. Or cette fille qui tombe du ciel éveille en lui des pulsions qu’il croyait disparues. Ce corps entrevu lui pose quelques problèmes. Des images impudiques se superposent aux cartes. Une bandaison molle déforme son caleçon. Inconsciemment, sa main droite se glisse par l’échancrure de la braguette et masse sa queue. Sa réussite n’avance pas. Alors qu’il recommence pour la ixième fois une pile, les gémissements cèdent le pas à des cris. — J’ai froid ! J’ai froid ! Ce putain de chauffage doit encore être en panne ! Putain de pays de merde… Manque plus que ça, voilà qu’elle se met à délirer. Qu’est-ce qu’il va faire ? Faisant pivoter son fauteuil, il se rend compte qu’elle se cramponne à la couverture, que son corps est agité de frissons. L’expression «trembler de la tête aux pieds» prend tout son sens. Parfois, cela arrivait à Lucy, lorsqu’elle était très fatiguée ou très contrariée. Dans ces moments, il s’allongeait nu contre elle, tout contre elle pour la réchauffer. Sans plus réfléchir, agissant par réflexe, pensant peut-être que c’était Lucy, il se glisse sous la couette. La fille, couchée en chien de fusil, est secouée de spasmes. Elle respire bruyamment par saccades. Il colle son corps contre le dos, les fesses, les cuisses gelées. Il frotte énergiquement les bras, les jambes tout en lui parlant doucement au creux de l’oreille. Le traitement a l’effet escompté. Au bout de quelques minutes, les tremblements ...
    ... s’espacent puis cessent. La respiration de la fille retrouve une cadence normale. Jusque-là uniquement préoccupé à lui faire partager sa chaleur, il n’a aucune conscience de l’ambiguïté de leur situation. Maintenant qu’elle ne grelotte plus, il sent les omoplates de la fille pointer contre sa poitrine, les cuisses musclées frémir contre les siennes, leurs pieds accolés s’emmêler. Son pénis, s’échappant par la braguette, appuie contre les fesses relâchées, s’insinue dans le sillon entrouvert, repoussant le léger tissu de la culotte. Pour mieux la maintenir, il a glissé son avant-bras gauche sous sa hanche. La fille ayant bougé, celui-ci se retrouve coincé, la main posée sur un sein. Sein ferme, dense, à la peau souple qui se soulève régulièrement au rythme de la respiration. Son bon cœur le perdra. Il doit quitter le lit au plus vite. Quand il veut retirer son bras, la respiration de la fille s’altère. Un début de tremblement le pousse à l’immobilité. Bonjour la situation ! Depuis qu’il s’est rendu compte de sa position, de ce corps de femme, il ne peut penser à autre chose. Sa main… le sein… le pétrir. Il lui faut garder le contrôle. Sa verge durcie pénètre plus profondément entre les fesses de la dormeuse. Par diverses gesticulations, il parvient à éloigner sa bite. Cela ne stoppe pas son érection, mais au moins elle ne la sentira pas. Il n’a jamais profité d’une nana ; ce n’est pas aujourd’hui qu’il franchira le pas et il n’a pas envie de se retrouver devant l’inquisiteur de ...
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