1. End of the world ou la fin de la solitude


    Datte: 23/08/2021, Catégories: fh, hplusag, inconnu, froid, pénétratio, sf,

    ... l’empereur et de l’USD. Encore qu’en ces temps d’insécurité, les troupes de l’empereur ont d’autres chats à fouetter et les prêtrimams de l’USD ne traînent pas trop dans les campagnes, y’a trop de balles perdues. Il s’efforce de dégager son bras, sans succès. Il n’a qu’à la réveiller. Pour qu’elle se remette à hurler ! Non merci ! Il utilise la vieille recette du « mantra» se répétant sans cesse une phrase propre à la faire penser à autre chose. Ça marche si bien qu’il finit par s’endormir. ************ Septembre 2042, an 26 de l’empire Quelque part dans le Jura. Jour 2. Réveil brutal. Il est réveillé par des coups de poing brutaux frappés contre sa poitrine ; coups de poing ponctués de hurlements hystériques : — Dégueulasse ! Ordure ! Je vais te crever ! L’homme s’extirpe du lit promptement, mais la fille s’agrippe à lui. Elle continue de le frapper d’une main tandis que l’autre arrache quasiment son sweat. Elle crie au viol sans même s’apercevoir qu’elle lui offre un spectacle très stimulant. Les seins juvéniles qui tressautent au rythme de ses coups malmènent son maillot, dévoilant au passage un ventre plat, lisse. La culotte, enfoncée dans la raie culière, moule son pubis, dessine les lèvres, découvre les fesses plus qu’elle ne les couvre. Les touffes de poils bruns frisés qui s’échappent de part et d’autre du frêle sous-vêtement annoncent une toison drue et broussailleuse. Le visage déformé par la colère n’en perd pas pour autant son charme, au contraire. Une brusque ...
    ... montée de désir animal traverse l’homme. Nouvelle érection. Il a envie de la dompter, de la couvrir, de la baiser sauvagement. Plus raisonnablement, il lui met une paire de baffes. Mais, bien malgré lui, il est imprégné par la sensualité qui se dégage de ce combat. La fille s’écroule sur le lit en sanglotant. Pleurs entrecoupés d’insultes répétitives: — Salaud ! Espèce de salaud ! Pourri ! Obsédé ! Qu’est-ce que tu m’as fait ? Où tu m’as emmenée ! Tu as posé tes sales pattes sur moi ! Je te crèverai… Sans les insultes, le spectacle serait tout à fait charmant. La demoiselle dévoile des grandes parties de son anatomie. Son t-shirt n’a pas résisté à l’assaut qu’elle vient de mener : le col a craqué, le tissu fatigué s’est déchiré. Son sein gauche s’en est échappé. Sein arrogant à la forme aérodynamique qui n’a aucunement besoin de soutif pour se tenir droit. L’énervement, l’affolement en a agréablement érigé le téton. À l’étage inférieur, la situation est tout aussi réjouissante : en se laissant tomber, elle a découvert un cul que la culotte ne cache plus du tout. Cul orgueilleux qui n’a pas besoin non plus de quoi que ce soit pour retenir les chairs. Cul musclé de sportive. La culotte, plaquée contre son sexe, entre profondément entre ses grandes lèvres. L’homme se retrouve voyeur. Son entresol commence à réagir. Déjà que cette hystérique l’accuse de viol, inutile qu’elle s’aperçoive qu’il bande. Il récupère sweat et collant sur le fauteuil et les revêt rapidement. D’un air qu’il ...
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