End of the world ou la fin de la solitude
Datte: 23/08/2021,
Catégories:
fh,
hplusag,
inconnu,
froid,
pénétratio,
sf,
... s’enfonceraient jamais aussi profond dans la campagne montagneuse surtout au début de l’hiver. Grave erreur. Au matin, les mercenaires remerciés par l’empereur après la mise au pas des derniers démocrates incendiaient le village, pillant, tuant, violant dans la meilleure tradition des routiers du Moyen Âge. Elle avait dû son salut au fait qu’elle habitait à l’autre extrémité du village. Quand elle avait entendu les premiers cris, vu les premiers feux, elle s’était habillée aussi vite qu’elle avait pu et sans réfléchir plus, elle s’était enfuie vers la montagne. Prise par son discours qu’elle agrémente de grands gestes, la jeune femme a oublié la couverture. Celle-ci est tombée sur ses cuisses. Nouvelle vue imprenable sur poitrine dénudée. Le t-shirt déchiré s’ouvrant de chaque côté, les deux globes laiteux s’exposent à ses regards concupiscents. Seuls les tétons restent dissimulés. Dissimulés pas tout à fait, car l’excitation provoquée par la discussion lui a échauffé les sens. Des tétons, qu’elle a vraiment proéminents, tendent la toile fatiguée de son maillot. Ça le rend fou. D’une oreille distraite, il suit son discours tandis que sa main malaxe sa queue de plus en plus vigoureusement. Il ne va pas tarder de cracher dans son caleçon. N’y tenant plus, il se rue vers un placard encastré, en sort une combinaison de travail en latex blanc qu’il lui jette. — Maintenant vous enfilez ça sinon i’ va se passer des trucs ! éructe-t-il. Et là, vous pourrez crier au viol !— Vous ...
... êtes mala… Un œil sur sa semi-nudité lui suffit pour comprendre l’énervement de l’homme. Elle s’habille rapidement, remontant très haut la fermeture électrostatique. — Je suis désolée. Je me suis pas rendu compte…— Non, c’est moi ! Il y a si longtemps que je n’ai pas vu de femme. Pour la première fois, l’homme sourit. Pour la première fois, elle ose aussi le regarder. Il n’est plus de première jeunesse. Il pourrait même largement être son père. Il doit approcher la soixantaine. Bien plus grand qu’elle ! Pas difficile avec son mètre cinquante-cinq. Silhouette jeune. Pas beaucoup de place pour la graisse. Corps svelte, musculature impeccable. Teint hâlé, il doit passer quand même pas mal de temps en plein air malgré le froid. Visage d’ascète glabre, joues creuses, cheveux gris coupés en brosse. Regard dur, désabusé, qui s’est transformé, l’espace d’un bref instant, lorsqu’il a souri. Elle lui fait de l’effet si elle en juge à l’érection qu’il ne parvient à dissimuler. Quelque part, elle se sent flattée. — Maintenant que vous êtes décente, revenons à nos moutons. Il faut que je prévienne les secours pour qu’ils viennent vous récupérer.— Vous êtes marrant, vous !— Pourquoi ? Vous ne pouvez pas rester là !— Bonjour, l’hospitalité !— Je ne vous ai pas demandé de venir.— Pas la peine de vous répéter, j’avais compris. Va pourtant falloir que vous me supportiez quelques jours. Les troupes de secours sont pas près d’arriver. Si elles viennent un jour… La colère lui va bien. Le visage ...